Culture

Chez soi ailleurs : comment on vit dans d’autres pays

Ouvrir la porte d’un foyer, c’est découvrir l’intimité d’une culture. L’agencement de la maison, la place des pièces, les habitudes de vie à l’intérieur : tout cela révèle bien plus que des préférences pratiques. Voici un tour d’horizon des façons d’habiter dans différentes régions du monde. Le salon, cœur de la maison ou espace réservé ?  Dans beaucoup de pays occidentaux, le salon est l’endroit central, à la fois familial et social. En Corée du Sud ou au Japon, les pièces peuvent être multifonctionnelles et modulées selon le moment de la journée. Parfois, certaines pièces restent fermées aux visiteurs, réservées à la famille ou aux ancêtres. Le rapport au sol : tapis, tatamis ou chaussures ?  Dans de nombreux pays d’Asie ou du Moyen-Orient, on se déchausse avant d’entrer chez quelqu’un, signe de respect et de propreté. Les sols sont parfois utilisés comme espace de repos, de repas ou de prière. Ce rapport au sol traduit une approche du confort et de l’intimité différente de celle des pays occidentaux. Le rôle de la cuisine  La cuisine peut être ouverte et conviviale (comme en Scandinavie), ou au contraire séparée et fonctionnelle. Dans certaines cultures, elle est un espace réservé aux femmes. Ailleurs, elle devient le cœur de la maison, lieu de transmission culinaire et de rassemblement familial. La chambre : espace privé ou collectif ?  Le concept de chambre individuelle est récent et occidental. Dans beaucoup de régions du monde, on partage sa chambre, voire son lit, avec ses frères et sœurs. La notion d’intimité varie selon les cultures, tout comme l’aménagement et l’usage de la pièce.   Comment on vit chez soi en dit long sur notre rapport à l’autre, à l’espace, à l’intimité. Explorer ces différences, c’est élargir son regard. Chez Globespeaker, l’apprentissage des langues est aussi une porte ouverte sur les modes de vie du monde entier.  
Icone de crayon

Vigdis |

Icone d'horloge'

5 min |

Icone de calendrier

31/07/2025

Lire la suite ›

Humour et quiproquos culturels : ce qui fait rire ailleurs

Ce qui fait rire dans un pays peut laisser de marbre ailleurs, voire créer des malentendus. L’humour est l’un des reflets les plus sensibles d’une culture : il dépend du langage, de l’histoire, des tabous et des codes sociaux. Comprendre l’humour d’une langue, c’est accéder à une forme de complicité culturelle. Les types d’humour varient d’une culture à l’autre  L’humour britannique joue sur l’absurde et l’autodérision. En France, on aime le jeu de mots et la satire. Au Japon, le duo comique "manzai" repose sur les rôles opposés du "boke" (naïf) et du "tsukkomi" (celui qui corrige). En Russie, l’humour noir reflète souvent les épreuves de l’histoire. Ce qui peut choquer ou déranger  Faire une blague sur la politique, la religion ou la famille est toléré dans certains pays, tabou dans d’autres. Les malentendus viennent souvent de ces différences culturelles. Un sketch inoffensif dans une langue peut devenir offensant traduit littéralement. Les codes de l’implicite et du non-dit  Certaines cultures valorisent l’humour indirect, le double sens, l’ironie feutrée. D’autres préfèrent l’efficacité visuelle ou la caricature. Comprendre les règles du jeu linguistique est essentiel pour saisir l’intention derrière une plaisanterie. Pourquoi l’humour rapproche  Rire ensemble crée un lien. Savoir utiliser (ou au moins comprendre) l’humour d’une autre langue, c’est entrer dans l’intimité sociale. Cela demande de la finesse, de l’observation, et une bonne dose d’auto-dérision aussi !   L’humour est une clé culturelle puissante. Avec Globespeaker, vous apprenez une langue dans son contexte, avec ses codes et ses subtilités. De quoi rire, parfois, mais surtout mieux comprendre l’autre.  
Icone de crayon

Vigdis |

Icone d'horloge'

5 min |

Icone de calendrier

24/07/2025

Lire la suite ›

Saluer dans le monde : gestes et mots pour bien commencer une conversation

Dire bonjour, tendre la main, faire une révérence : saluer est le premier geste d’interaction humaine. Pourtant, ce qui est vu comme poli ou respectueux ici peut être maladroit ailleurs. Tour d’horizon des manières de saluer à travers les cultures. La parole et le geste En France, une poignée de main suffit dans les contextes formels ; les bises varient selon les régions et la familiarité. Au Japon, on s’incline avec précision. En Inde, on joint les mains devant la poitrine en disant « Namaste », un salut empreint de spiritualité. Distance et contact physique Dans les pays arabes ou d’Amérique latine, le contact physique est souvent chaleureux (accolades, embrassades). À l’inverse, dans les pays nordiques ou en Asie de l’Est, on valorise la distance. La proximité physique dépend de la culture, mais aussi du genre et du contexte. Le regard, un langage culturel Regarder quelqu’un dans les yeux est signe d’assurance en Occident, mais peut être vu comme un manque de respect dans certaines cultures asiatiques. Le regard fait partie intégrante du salut, et ses codes sont à manier avec finesse. Les mots comptent aussi Chaque langue a ses formules. En russe : « Zdravstvuyte » (santé à vous). En arabe : « Salam alaykoum » (paix sur vous). Ces expressions, souvent pleines de sens, ouvrent la porte à une relation fondée sur la reconnaissance mutuelle. Saluer, c’est plus qu’une formule : c’est un acte culturel, un signal de respect, un début de dialogue. Chez Globespeaker, nous vous aidons à maîtriser ces subtilités culturelles, car parler une langue, c’est aussi savoir entrer en relation avec justesse.
Icone de crayon

Vigdis |

Icone d'horloge'

5 min |

Icone de calendrier

17/07/2025

Lire la suite ›
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Politique de gestion