
Vigdis
• 25 articlesPrésidente et Fondatrice
Entrepreneuse engagée pour un monde plus juste. Passionnée par les langues étrangères depuis mon enfance.
Ouvrir la porte d’un foyer, c’est découvrir l’intimité d’une culture. L’agencement de la maison, la place des pièces, les habitudes de vie à l’intérieur : tout cela révèle bien plus que des préférences pratiques. Voici un tour d’horizon des façons d’habiter dans différentes régions du monde.
Le salon, cœur de la maison ou espace réservé ?
Dans beaucoup de pays occidentaux, le salon est l’endroit central, à la fois familial et social. En Corée du Sud ou au Japon, les pièces peuvent être multifonctionnelles et modulées selon le moment de la journée. Parfois, certaines pièces restent fermées aux visiteurs, réservées à la famille ou aux ancêtres.
Le rapport au sol : tapis, tatamis ou chaussures ?
Dans de nombreux pays d’Asie ou du Moyen-Orient, on se déchausse avant d’entrer chez quelqu’un, signe de respect et de propreté. Les sols sont parfois utilisés comme espace de repos, de repas ou de prière. Ce rapport au sol traduit une approche du confort et de l’intimité différente de celle des pays occidentaux.
Le rôle de la cuisine
La cuisine peut être ouverte et conviviale (comme en Scandinavie), ou au contraire séparée et fonctionnelle. Dans certaines cultures, elle est un espace réservé aux femmes. Ailleurs, elle devient le cœur de la maison, lieu de transmission culinaire et de rassemblement familial.
La chambre : espace privé ou collectif ?
Le concept de chambre individuelle est récent et occidental. Dans beaucoup de régions du monde, on partage sa chambre, voire son lit, avec ses frères et sœurs. La notion d’intimité varie selon les cultures, tout comme l’aménagement et l’usage de la pièce.
Comment on vit chez soi en dit long sur notre rapport à l’autre, à l’espace, à l’intimité. Explorer ces différences, c’est élargir son regard. Chez Globespeaker, l’apprentissage des langues est aussi une porte ouverte sur les modes de vie du monde entier.
Maîtriser une langue étrangère ne sert pas seulement à voyager ou à traduire des mots. C’est aussi un formidable levier pour développer des compétences comportementales très recherchées en entreprise : les soft skills. Communication, adaptabilité, confiance en soi... Apprendre une langue, c’est travailler bien plus que son vocabulaire.
Améliorer sa communication
Une langue, c’est un outil de relation. En apprenant à s’exprimer avec clarté, à comprendre l’autre et à écouter activement, on développe une meilleure communication — en langue cible comme dans sa langue maternelle.
Développer l’empathie interculturelle
Apprendre une langue, c’est aussi comprendre une culture, des codes sociaux et des manières de penser différentes. Cela stimule l’ouverture d’esprit, l’empathie et la capacité à travailler dans des équipes internationales.
Renforcer sa confiance en soi
Se lancer dans une conversation en langue étrangère, réussir à se faire comprendre, répondre à l’imprévu… Ce sont autant de petites victoires qui renforcent l’aisance et l’estime de soi.
Stimuler la mémoire et la concentration
Apprendre du vocabulaire, des structures, des sons différents : cela sollicite le cerveau de façon intense. Des études montrent que les personnes bilingues développent de meilleures capacités cognitives.
Montrer sa motivation et sa capacité d’apprentissage
Dans un CV ou en entretien, parler une langue étrangère est un signal fort. Cela prouve votre autonomie, votre curiosité, votre capacité à apprendre de façon continue : des qualités recherchées dans tous les métiers.
Apprendre une langue, c’est bien plus que parler anglais, espagnol ou chinois. C’est se transformer, s’ouvrir, se challenger. Avec Globespeaker, vous développez des compétences linguistiques, mais aussi humaines et professionnelles, qui vous suivront toute votre vie.
Ce qui fait rire dans un pays peut laisser de marbre ailleurs, voire créer des malentendus. L’humour est l’un des reflets les plus sensibles d’une culture : il dépend du langage, de l’histoire, des tabous et des codes sociaux. Comprendre l’humour d’une langue, c’est accéder à une forme de complicité culturelle.
Les types d’humour varient d’une culture à l’autre
L’humour britannique joue sur l’absurde et l’autodérision. En France, on aime le jeu de mots et la satire. Au Japon, le duo comique "manzai" repose sur les rôles opposés du "boke" (naïf) et du "tsukkomi" (celui qui corrige). En Russie, l’humour noir reflète souvent les épreuves de l’histoire.
Ce qui peut choquer ou déranger
Faire une blague sur la politique, la religion ou la famille est toléré dans certains pays, tabou dans d’autres. Les malentendus viennent souvent de ces différences culturelles. Un sketch inoffensif dans une langue peut devenir offensant traduit littéralement.
Les codes de l’implicite et du non-dit
Certaines cultures valorisent l’humour indirect, le double sens, l’ironie feutrée. D’autres préfèrent l’efficacité visuelle ou la caricature. Comprendre les règles du jeu linguistique est essentiel pour saisir l’intention derrière une plaisanterie.
Pourquoi l’humour rapproche
Rire ensemble crée un lien. Savoir utiliser (ou au moins comprendre) l’humour d’une autre langue, c’est entrer dans l’intimité sociale. Cela demande de la finesse, de l’observation, et une bonne dose d’auto-dérision aussi !
L’humour est une clé culturelle puissante. Avec Globespeaker, vous apprenez une langue dans son contexte, avec ses codes et ses subtilités. De quoi rire, parfois, mais surtout mieux comprendre l’autre.
Les serious games révolutionnent l’apprentissage des langues en combinant plaisir de jouer et efficacité pédagogique. Chez Globespeaker, cette approche est au cœur de notre méthode. Mais comment fonctionne un serious game ? Sur quels principes s’appuie-t-il ? Et pourquoi est-il si efficace pour apprendre durablement ? Plongée dans les coulisses.
Le serious game, c’est quoi exactement ?
Un serious game est un jeu conçu avec un objectif formateur. Il ne s’agit pas seulement de divertir, mais d’atteindre une compétence : linguistique, cognitive, sociale... Globespeaker utilise cette approche pour créer un parcours immersif où chaque mission permet de renforcer des compétences-clés en langue.
Une méthodologie fondée sur les sciences cognitives
Notre méthode s’appuie sur des leviers puissants validés par les neurosciences :
Répétition espacée pour ancrer les connaissances dans la mémoire long terme.
Feedback immédiat pour corriger et progresser sans attendre.
Stimulation de la dopamine grâce au scoring, badges, et niveaux franchis, qui entretient la motivation.
La technologie au service de l’apprenant
L’interface de Globespeaker est conçue pour offrir une expérience fluide, intuitive et engageante. Le séquencement des activités, le design immersif et la personnalisation des parcours permettent à chacun d’apprendre à son rythme, dans un environnement stimulant.
Un apprentissage actif et motivant
Contrairement à l’apprentissage passif (regarder une vidéo ou lire une leçon), le serious game sollicite l’attention, la réflexion et l’interaction. Il pousse l’apprenant à être acteur de son parcours, ce qui améliore l’engagement et la rétention des compétences.
Des résultats mesurables et gratifiants
L’un des grands atouts du serious game est la possibilité de suivre ses progrès en temps réel. Les scores et statistiques permettent d’ajuster son parcours, de cibler ses faiblesses, et de voir concrètement les compétences acquises.
Le serious game n’est pas une mode, mais une révolution pédagogique. En alliant plaisir du jeu, rigueur scientifique et technologie intelligente, Globespeaker offre une expérience d’apprentissage vivante, durable et motivante. Une façon moderne et efficace d’apprendre une langue, à tout âge et à tout niveau.
Dire bonjour, tendre la main, faire une révérence : saluer est le premier geste d’interaction humaine. Pourtant, ce qui est vu comme poli ou respectueux ici peut être maladroit ailleurs. Tour d’horizon des manières de saluer à travers les cultures.
La parole et le geste
En France, une poignée de main suffit dans les contextes formels ; les bises varient selon les régions et la familiarité. Au Japon, on s’incline avec précision. En Inde, on joint les mains devant la poitrine en disant « Namaste », un salut empreint de spiritualité.
Distance et contact physique
Dans les pays arabes ou d’Amérique latine, le contact physique est souvent chaleureux (accolades, embrassades). À l’inverse, dans les pays nordiques ou en Asie de l’Est, on valorise la distance. La proximité physique dépend de la culture, mais aussi du genre et du contexte.
Le regard, un langage culturel
Regarder quelqu’un dans les yeux est signe d’assurance en Occident, mais peut être vu comme un manque de respect dans certaines cultures asiatiques. Le regard fait partie intégrante du salut, et ses codes sont à manier avec finesse.
Les mots comptent aussi
Chaque langue a ses formules. En russe : « Zdravstvuyte » (santé à vous). En arabe : « Salam alaykoum » (paix sur vous). Ces expressions, souvent pleines de sens, ouvrent la porte à une relation fondée sur la reconnaissance mutuelle.
Saluer, c’est plus qu’une formule : c’est un acte culturel, un signal de respect, un début de dialogue. Chez Globespeaker, nous vous aidons à maîtriser ces subtilités culturelles, car parler une langue, c’est aussi savoir entrer en relation avec justesse.
Apprendre une langue ne se limite pas à maîtriser la grammaire ou le vocabulaire. C’est aussi comprendre les règles implicites, les gestes, les usages et les valeurs culturelles. Ces "codes sociaux" sont essentiels pour communiquer efficacement et éviter les malentendus. Chez Globespeaker, chaque marche d’apprentissage intègre des tips culturels pour enrichir votre compréhension de la langue dans son contexte réel.
Pourquoi les codes sociaux sont-ils essentiels ?
Dire bonjour, remercier, exprimer un refus, poser une question : autant d’actes simples qui changent selon les cultures. Un geste ou une formule inappropriée peut être mal perçu, voire offensant. Maîtriser ces codes favorise des échanges plus fluides et respectueux.
Des exemples concrets par langue
En anglais : le small talk (conversation de politesse) est attendu avant de parler affaires.
En japonais : l’utilisation des niveaux de politesse structure tout l’échange.
En espagnol : la proximité physique et les marques d’enthousiasme sont valorisées.Comprendre ces différences permet de s’adapter et de mieux s’intégrer.
Comment intégrer les codes sociaux dans votre apprentissage
En plus des contenus linguistiques proposés par Globespeaker, les tips culturels présents dans chaque marche vous permettent de découvrir des aspects pratiques de la vie quotidienne, de la politesse aux habitudes locales. Vous pouvez aussi enrichir votre parcours avec des podcasts, des films ou des échanges avec des natifs pour aller encore plus loin.
L’impact sur votre communication internationale
Décoder les codes sociaux, c’est gagner en aisance, en empathie et en impact. Vous devenez un interlocuteur plus crédible et adaptable, que ce soit en voyage, dans une réunion professionnelle ou lors d’un entretien international.
Une langue sans sa culture est une langue sans contexte. Grâce aux tips culturels intégrés dans les marches de Globespeaker, vous développez une compréhension plus fine des usages locaux et devenez un communicant plus complet dans un monde globalisé.
Toutes les cultures célèbrent les saisons, la vie, les ancêtres ou les croyances. Mais certaines fêtes sortent de l’ordinaire par leurs coutumes, leurs couleurs ou leurs symboles. Voici un tour d’horizon de fêtes insolites, décalées ou méconnues, qui illustrent la richesse des traditions locales.
La Tomatina (Espagne)
Chaque été, la ville de Buñol devient le théâtre d’une gigantesque bataille de tomates. Une heure de jets de fruits mûrs pour le simple plaisir collectif, suivie d'un nettoyage de masse dans les rues.
Holi (Inde)
Fête des couleurs et du renouveau, Holi marque la fin de l'hiver. Les participants s'aspergent de poudres colorées en dansant. Au-delà du côté festif, Holi symbolise aussi le pardon et le retour à l’harmonie.
Le Setsubun (Japon)
Fête du changement de saison, où l’on chasse les mauvais esprits en jetant des graines de soja. On y crie "Oni wa soto! Fuku wa uchi!" (Dehors les démons, dedans le bonheur!). Une manière ludique de purifier sa maison.
Le festival du fromage roulant (Angleterre)
Chaque printemps à Cooper's Hill, des participants lancent un fromage rond du sommet d’une colline et courent derrière en dévalant à toute vitesse. Une compétition absurde, mais très suivie.
Le Jour des Morts (Mexique)
Cette fête rend hommage aux défunts dans la joie, les couleurs et la musique. Autels, offrandes et maquillages de crânes fleuris en font une célébration unique de la vie et de la mémoire.
Derrière chaque fête insolite se cachent des valeurs : solidarité, respect des saisons, lien aux ancêtres, exubérance collective. En découvrant ces célébrations, on comprend mieux les sensibilités et les imaginaires des cultures. Chez Globespeaker, l’apprentissage des langues inclut aussi cette ouverture au monde par ses rituels les plus vivants.
Langue
Application
Formation
Professionnel
Facile
Gamification
Serious-game
Angleterre
Anglais
Enseignement
Apprentissage
Vous souhaitez booster votre carrière en validant votre niveau d’anglais avec le TOEIC ? Globespeaker vous propose une méthode unique pour préparer cette certification sérieusement, tout en vous amusant. Basé sur le serious game, notre programme transforme votre apprentissage en expérience ludique et efficace.
Comprendre le TOEIC et ses enjeux
Le TOEIC (Test of English for International Communication) évalue les compétences en anglais professionnel. Il est reconnu dans plus de 160 pays et prisé par les entreprises. Obtenir un bon score est un atout pour votre CV, vos mobilités professionnelles ou l'accès à certaines formations.
Une méthode adaptée aux exigences de l'examen
Globespeaker intègre des modules ciblés pour renforcer les compétences clés du TOEIC : compréhension orale, lecture, vocabulaire professionnel. Chaque entrainement est conçu pour développer vos réflexes linguistiques et vous rapprocher des conditions réelles du test.
Le serious game : un levier d'apprentissage puissant
En utilisant la mécanique du jeu, vous restez engagé, concentré et motivé. Chaque mission réussie vous rapproche de vos objectifs tout en consolidant vos acquis. Le jeu favorise la mémorisation active et l’ancrage durable des connaissances.
Progression personnalisée et feedback en temps réel
Vous avancez à votre rythme, avec des parcours adaptés à votre niveau initial et vos disponibilités. Les scores, badges et bilans vous permettent de visualiser vos progrès et de cibler les compétences à renforcer.
Financement par le CPF : un accès facilité à la certification
Globespeaker est éligible au CPF, ce qui permet de suivre la préparation au TOEIC sans frais personnels. C’est l’opportunité d’investir dans votre avenir professionnel avec un accompagnement ludique et structurant.
Avec Globespeaker, préparer le TOEIC devient une aventure motivante. Notre approche pédagogique par le jeu, personnalisée et orientée résultats, vous donne les clés pour réussir votre certification et valoriser votre anglais au service de vos ambitions.
Manger est un acte universel. Mais les manières de se mettre à table, de partager un repas ou de montrer son appétit varient fortement d'un pays à l'autre. Derrière chaque coutume culinaire se cache une vision du monde, une manière de vivre ensemble. Partons pour un tour du monde des traditions à table.
Le repas, un acte social avant tout
Dans certaines cultures, manger seul est rare, voire mal vu. En Espagne, en Italie ou au Liban, les repas sont avant tout un moment de partage et de parole. On prend le temps, on discute, on prolonge le déjeuner avec la "sobremesa" ou l'incontournable café.
La place et le rang comptent
Au Japon ou en Chine, les codes sociaux sont visibles dans l'organisation du repas : où l'on s'assoit, qui sert, qui commence à manger... tout est régi par des signes de respect. En Afrique de l'Ouest, manger dans un plat commun peut symboliser la cohésion du groupe.
Le silence ou la parole ?
En France, un repas peut durer des heures, rythmé par les discussions. A l'inverse, certaines cultures, comme celle de la Finlande ou du Japon, valorisent le silence pendant le repas comme signe de respect ou d’attention.
Montrer (ou cacher) son appétit
Roter à la fin d'un repas peut être vu comme un compliment en Chine, alors qu'en Occident c'est impoli. Dans certains pays, terminer son assiette signifie qu'on n'a pas eu assez ; ailleurs, c'est au contraire un signe de satisfaction.
Mains, baguettes, couverts : une affaire de gestes
Manger avec les mains est la norme dans plusieurs régions du monde (Inde, Afrique, Moyen-Orient), avec des codes précis (toujours la main droite, par exemple). Les baguettes exigent aussi un apprentissage culturel, tout comme le maniement du couteau et de la fourchette.
Observer les habitudes à table, c’est entrer dans l’intimité d’une culture. C’est aussi un excellent moyen de développer son sens de l’observation, de l’adaptation et du respect des différences. Chez Globespeaker, on apprend la langue, mais aussi les gestes, les mots et les rituels qui permettent de mieux comprendre le monde.
Découverte
Ecriture
Langue
Application
Formation
Cours
Gamification
Serious-game
Enseignement
Apprentissage
Expérience
L'apprentissage en ligne offre une flexibilité inégalée, mais il présente aussi un défi majeur : rester motivé sur la durée. Sans la présence physique d'un professeur ou la dynamique d'un groupe, il est facile de perdre le rythme. Pourtant, avec quelques stratégies simples, il est possible de garder le cap et de progresser efficacement.
Se fixer des objectifs clairs et atteignables
Dès le départ, définissez ce que vous souhaitez accomplir avec votre formation. Souhaitez-vous améliorer votre niveau d'anglais professionnel ? Passer un examen comme le TOEIC ? Ces objectifs doivent être spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporels (objectifs SMART).
Structurer son temps et son environnement
Planifiez des sessions d’apprentissage régulières. Même 15 minutes par jour peuvent avoir un impact significatif si elles sont bien organisées. Créez un espace calme, sans distractions, propice à la concentration.
Utiliser des outils ludiques et interactifs
La méthode Globespeaker repose sur le serious game : une façon engageante d’apprendre en s’amusant. Le jeu stimule la mémoire, la répétition active et permet de mesurer ses progrès en temps réel, ce qui entretient la motivation.
Se récompenser et suivre ses progrès
Gardez une trace de vos évolutions (badges, niveaux, scores) et accordez-vous des récompenses lorsque vous atteignez un palier. Cette gratification, même symbolique, renforce l’engagement.
Rejoindre une communauté d'apprenants
Même en ligne, vous n'êtes pas seul. Participez aux forums, groupes de discussion ou challenges entre utilisateurs. L’échange et l’entraide permettent de briser l’isolement et de se soutenir mutuellement.
Relier l’apprentissage à ses intérêts personnels
Apprenez avec des contenus qui vous passionnent : musique, voyages, cuisine, actualités... La personnalisation du parcours rend l’expérience plus plaisante et engageante.
Rester motivé en e-learning n’est pas une question de volonté pure, mais d’organisation, de plaisir et de progression visible. En choisissant une méthode comme Globespeaker, qui intègre le jeu, la personnalisation et la communauté, vous mettez toutes les chances de votre côté pour atteindre vos objectifs linguistiques durablement.
La Russie est une terre de cultures et de traditions diverses. Des montagnes enneigées de Sibérie aux plages ensoleillées de la mer Noire, il y en a pour tous les goûts dans ce vaste pays. Et lorsqu’il s’agit de nourriture, la Russie ne déçoit pas.Voici sept des spécialités russes les plus populaires que vous devez essayer lors de votre prochain voyage.
Le Borscht
Le bortsch est un type de soupe qui est généralement faite avec du bœuf, du chou, des pommes de terre, des carottes, des betteraves et des tomates. Il est servi avec une cuillerée de crème aigre sur le dessus et peut être chaud ou froid. Le bortsch est un plat populaire dans de nombreuses régions du monde et il présente de nombreuses variantes. Par exemple, en Ukraine, le bortsch est souvent préparé avec du porc au lieu du bœuf. Le bortsch est copieux et rassasiant, ce qui en fait le repas parfait pour une journée froide d’hiver !
Les Pelmeni
Les pelmeni sont des boulettes de pâte qui sont remplies de viande (généralement du porc, de l’agneau ou du bœuf) et servies dans un bouillon. Elles ressemblent à des raviolis ou des tortellinis et se retrouvent dans de nombreuses cuisines en Europe et en Asie. Les pelmeni sont populaires en Russie et sont souvent servies en entrée ou en plat principal. Bien que les pelmeni soient originaires de Russie, elles sont maintenant préparées et appréciées dans de nombreux autres pays à travers le monde. Elles sont faciles à préparer et peuvent être consommées chaudes ou froides.
Les Golubtsy
Les golubtsy sont des rouleaux de chou farci qui sont remplis avec une combinaison de viande hachée, de riz et d’oignons. Ils sont cuits à la vapeur ou cuits au four avec une sauce tomate ou une crème sure. Les golubtsy sont très appréciés en Russie et peuvent être servis comme plat principal ou comme accompagnement. Les golubtsy sont une façon délicieuse et nutritive de servir des légumes et ils peuvent être un ajout étant bienvenu dans n’importe quel menu.
La Vatrouchka
La vatrouchka est un type de pâtisserie qui est généralement faite avec du fromage blanc, des œufs, du beurre et de la farine. Elle a la forme d’un anneau avec des raisins secs ou des graines de pavot sont cuites dans la pâte. La vatrouchka est un aliment populaire pour le petit-déjeuner en Russie et peut également être trouvée dans d’autres parties de l’Europe de l’Est et de l’Asie centrale. Elle peut également être servie chaude ou froide, avec du miel ou de la confiture. La vatrouchka est une pâtisserie unique qui peut être appréciée par ceux qui aiment le goût doux et riche des desserts à base de fromage. Elle offre également une alternative saine pour les amateurs de sucreries, car elle n’est pas aussi riche en calories que les autres types de pâtisseries.
Le Khachapuri
Le khachapuri est un mets qui ressemble à une pizza, mais qui est préparé avec de la pâte à pain et rempli d’un fromage fondant. Les versions les plus populaires sont faites avec du fromage blanc ou du fromage à pâte molle, mais il existe également des recettes qui utilisent de la ricotta. Le khachapuri peut être servi comme entrée ou comme plat principal. Il est traditionnellement accompagné de beurre, d’herbes et d’un filet d’huile d’olive. La version la plus populaire est le khachapuri à l’ail, qui contient de l’ail broyé et une sauce tomate riche.
Le Stroganoff
Le Stroganoff est une spécialité à base de viande de bœuf, de champignons, d’oignons, de crème aigre, de sauce Worcestershire et de moutarde. Il doit son nom à la famille Stroganov, qui était une famille importante de la société russe au XIXe siècle. Le Stroganoff est généralement servi sur du riz ou des pâtes. Il peut également être servi avec des légumes ou des salades. Le Stroganoff est très populaire en Russie et a même été popularisé en Europe occidentale grâce à son goût délicieux.
Les Blinis
Ces délicieuses petites crêpes sont traditionnellement servies avec du beurre, du caviar et de la crème aigre. Bien que la recette des blinis puisse sembler difficile à préparer, elle est en fait très simple. La pâte est faite de farine, de lait, de levure et d’œufs, et les crêpes sont cuites sur une plaque. Les blinis sont souvent servis dans le cadre d’une fête, et ils constituent un parfait petit-déjeuner ou brunch de Noël. Si vous cherchez quelque chose de spécial à préparer pendant les fêtes, pourquoi ne pas essayer les blinis ?
Si vous êtes à la recherche d’une aventure culinaire, la Russie est l’endroit idéal pour vous. Avec son histoire riche et sa culture diversifiée, ce pays ne manque pas de plats délicieux à essayer. Alors, la prochaine fois que vous prévoyez un voyage en Russie (ou même si vous cuisinez chez vous), ne manquez pas de découvrir certaines de ces spécialités populaires !
L’inde possède la richesse d’un continent entier, ses divinités sont aussi diverses que les mythologies de nombreux pays occidentaux réunis.Ce n’est sans aucun doute pas le fruit du hasard si l’on dit de l’Inde qu’elle serait le pays aux 330 millions de dieux.Transmise par d’immenses et nombreux récits traditionnels, la mythologie indienne est fascinante sur plus d’un aspect ; un sentiment que nous allons vous partager à travers un petit tour d’horizon des divinités indiennes les plus « fondatrices » si l’on peut dire.
Quelques repères
Avant de présenter individuellement les divinités les plus populaires du paysage mythologique hindou, il est important d’apporter quelques éléments de repères chronologiques et généalogiques, étant donné le caractère légèrement complexe et divers des récits traditionnels.
Des premiers Vedas, dont ont peut dater l’origine au XVe siècle avant notre ère (figurant à ce titre parmi les textes littéraires les plus anciens de l’histoire de l’humanité), jusqu’aux derniers Puradas, dont on suppose que la rédaction daterait entre le IVe et XVe siècle de notre ère, les récits se chevauchent et apportent de siècle en siècle des éléments biographiques sur les divinités, en plus d’explications cosmogoniques sur l’origine et le destin du monde. Néanmoins, à mesure que l’on passe du védisme à l’hindouisme, l’ensemble des dieux du panthéon védique sont progressivement supplantés par ce que l’on appelle la Trimurti hindoue, qui compte trois dieux : Brahma, créateur du cosmos ; Shiva, le destructeur ; et Vishnu, le conservateur de l’univers.
Le Panthéon védique
Selon le Rig Veda (un des quatre grands textes canoniques de l’hindouisme : la somme de ces textes porte le nom de Veda), il y a trente-trois dieux védiques ; onze habitant le ciel, onze dans les eaux, et onze sur terre. Ils sont conçus comme des êtres personnels, se déplacent dans des chars brillants, mangent, boivent, mais n’ont jamais besoin de dormir. Ils travaillent et l’on obtient leur amitié que difficilement. Les Dieux védiques représentent les forces naturelles, mais ils ne sont pas que cela (en partie en raison du fait que la distinction entre ce qui est naturel et non naturel n’est pas très nette).
Dans ce Panthéon, figure en premier lieu Varuna, symbole du paradis, souverain et magicien. Il règne sur le monde, les dieux, et sur les hommes. Son regard se porte sur les occupations de tous, il lit les pensées les plus secrètes et surveille toute activité.
Hindu God Varuna sitting on the crocodile. Vector illustration isolated
On peut ensuite citer Purusha, l’être primordial, le maître de l’immortalité. Purusha est l’être même, pris en toute temporalité : il est le monde déjà passé, le monde tel qu’il est en cet instant, mais aussi l’avenir. Il est en même temps indissociable de l’énergie qui se développe dans le monde.
Sans doute le plus ancien des dieux, Kama est le dieu de l’amour. C’est la personnification du désir, du plaisir sensuel et surtout du plaisir sexuel. Son action détermine parmi les êtres la loi du samsara, la suite continue et infinie des naissances et des morts. Vous vous êtes peut-être un jour, demandez quelle était la source d’inspiration du Kamasutra, le fameux recueil « d’aphorismes du désir », et d’illustrations de certaines positions intimes ? Vous avez la réponse !
La Trimurti Hindoue
Ce qui caractérise l’hindouisme, postérieur au védisme, est une dévalorisation progressive du panthéon védique : les soustractions et ajouts s’accompagnent d’une montée phénoménale de deux anciennes divinités, Vishnu et Shiva. Les trois dieux qui composent la Trimurti hindoue sont, chacun dans des lieux différents, considérées comme des divinités suprêmes. D’interminables épopées racontent leurs aventures et celles de leurs descendances. Ces récits constituent les Puranas, Mahabharatas, et Ramayanas.
Brahma, notamment, est l’incommensurable et le seigneur de toutes les créatures. Il est considéré comme un créateur, directeur du ciel, maître des horizons et des quatre Vedas. Les hindous le placent généralement au-dessus et au-delà de tout culte et de toute dévotion.
Shiva, le feu créateur, est vraisemblablement hérité de la figure de Rudra dans le Panthéon védique, mais ces deux figures ne se limitent pas à une simple filiation ; au contraire, elles sont les faces complémentaires et indissociables d’une même divinité. Shiva est bienfaisant, créateur ; Rudra est destructeur. Cette unité forme une figure de dieu souverain, organisateur du monde.
Enfin, Vishnu termine cette trinité qui compose la Triumurtie hindoue, source de la religion hindoue. Vishnu est ainsi un des grands dieux de l’Inde, et la cause de l’existence. Il est le garant de la stabilité du monde, et possède mille noms et propriétés. Il est partout et pénètre tout ; il est en ce sens le sauveur, le protecteur, l’ami qui se met du côté des hommes, tandis que Shiva est le maître.
The God of Preservation is Lord Vishnu. Generative AI
La cuisine traditionnelle japonaise est connue pour sa simplicité et son élégance. Contrairement à la cuisine occidentale, qui s’appuie souvent sur des sauces lourdes et des présentations élaborées, les plats japonais sont généralement légers et délicats, et mettent l’accent sur les ingrédients frais et de saison.Si les sushis et les sashimis sont peut-être les exemples les plus connus de la cuisine japonaise, les traditions culinaires de ce pays sont bien plus nombreuses qu’il n’y paraît.Dans cet article, nous allons examiner de plus près certains des aspects uniques de la cuisine japonaise et explorer ce qui la rend si spéciale.
L’utilisation d’ingrédients de saison
L’un des aspects les plus frappants de la cuisine japonaise est l’importance accordée aux ingrédients frais et de saison. Au Japon, la coutume veut que l’on consomme des aliments qui sont de saison et à l’apogée de leur maturité. Cela permet de garantir que les plats sont aussi savoureux et nutritifs que possible. De plus, l’utilisation d’ingrédients de saison est un excellent moyen de soutenir les agriculteurs et les entreprises locales tout en restant sur des circuits courts.
General view of a fish shop in a market
L’art de la présentation
Un autre aspect remarquable de la cuisine japonaise est la présentation artistique des plats. Au Japon, la nourriture est souvent considérée comme une forme d’art, et l’on prend grand soin de s’assurer que chaque plat est aussi beau qu’il est bon. Qu’il s’agisse de plateaux de sushis joliment disposés ou de délicats bols de nouilles ramen, l’accent est mis sur la création de plats visuellement attrayants qui plaisent à la fois au palais et à l’œil.
De plus, la cuisine japonaise est connue pour son utilisation judicieuse des couleurs. Les chefs prennent toujours soin de sélectionner des aliments de couleur et de forme variées afin que les plats soient aussi équilibrés que possible. Par exemple, un bol de ramen peut inclure des lamelles vertes d’oignon, des carottes jaunes et des tranches rouges de bœuf pour créer une symphonie visuelle colorée. Cela donne aux plats une présentation plus attrayante et ajoute à l’expérience gustative en éveillant les sens.
Traditional Japanese soup ramen with meat broth, asian noodles, seaweed, sliced pork, eggs and ginger on dark concrete background. Close up. Asian style food. Top view. Hot tasty ramen soup for dinner
L’utilisation de méthodes de cuisson traditionnelles
La cuisine japonaise se caractérise également par l’utilisation de méthodes de cuisson traditionnelles. Par exemple, de nombreux plats japonais sont préparés avec du dashi, un type de bouillon à base d’algues et de flocons de bonite. Le dashi est utilisé dans la cuisine japonaise depuis des siècles et confère aux soupes, ragoûts et autres plats, une saveur unique, typiquement japonaise. Il existe également de nombreuses autres méthodes de cuisson, dont le grillage, le rôtissage et la cuisson à la vapeur.
L’influence de la cuisine bouddhiste
Les moines bouddhistes ont joué un rôle important dans le développement de la cuisine japonaise. En fait, l’un des premiers livres de cuisine documentés au Japon a été écrit par un moine bouddhiste nommé Eisai en 1195. Depuis lors, les principes bouddhistes ont continué à influencer la façon dont les aliments sont préparés et consommés au Japon. Par exemple, la viande était traditionnellement évitée par les bouddhistes (et donc par de nombreux Japonais), bien que cette restriction alimentaire se soit quelque peu assouplie ces dernières années.
L’importance de l’équilibre
L’équilibre est un principe important de la cuisine japonaise. Il s’agit non seulement de l’équilibre entre les différentes saveurs, mais aussi de l’équilibre général entre les différents groupes d’aliments. Par exemple, un repas japonais typique peut comprendre du riz ou des nouilles (glucides), du poisson ou de la viande (protéines), des légumes (fibres), une soupe (liquide) et des légumes marinés (umami). En incluant les cinq principaux groupes alimentaires, les repas sont riches en nutriments et offrent une variété de saveurs qui se complètent et s’équilibrent parfaitement.
La variété et la modernité
Bien que la cuisine japonaise soit caractérisée par des concepts anciens tels que l’utilisation de produits frais, sa présentation artistique et ses méthodes de cuisson traditionnelles, elle est également en constante évolution. De nouvelles recettes et plats tendance sont constamment développés, créant un mélange unique de tradition et de modernité. Les chefs japonais explorent les différentes cultures et techniques culinaires pour créer des plats inédits qui ravissent les palais. La cuisine japonaise est ainsi à la fois riche en variété et intemporelle, ce qui en fait l’une des cuisines les plus appréciées et respectées au monde.
Conclusion
La cuisine japonaise est connue pour sa simplicité, ses ingrédients frais et sa belle présentation. Cependant, les traditions culinaires japonaises sont bien plus que ce que l’on croit et ne se résume pas à manger avec des baguettes. De l’utilisation d’ingrédients de saison à l’influence du bouddhisme sur les méthodes de préparation des aliments, il existe de nombreux aspects uniques qui rendent la cuisine japonaise si spéciale. La prochaine fois que vous vous assiérez pour déguster un délicieux bol de ramen ou des sushis, prenez le temps d’apprécier tout ce qui entre dans la composition de ces plats simples, mais exquis.
Le braille est connu dans le monde entier. En revanche, tout le monde ne s’intéresse pas à cette langue écrite.En effet, la plupart des personnes ne connaissent pas l’origine de cette langue, ne peuvent en expliquer le fonctionnement, ni ses évolutions au cours du temps.Dans cet article, nous allons nous intéresser de près à toutes ces informations afin de mieux connaître cette langue originale.
L’origine du braille
Le braille est une amélioration de la méthode de lecture appelée « sonographie », mise au point par Charles Barbier.
Louis Braille, qui est devenu aveugle par accident, et qui suivait cette méthode, en a identifié les limites lors de son instruction. Il a alors inventé un code alphabétique, organisé en deux rangées de trois points, qui offre soixante-quatre combinaisons. Ainsi, il intègre les majuscules, les accents, la ponctuation, ainsi que les caractères.
Mais qui est Louis Braille ?
Louis Braille est né en 1809 dans la région Parisienne.
Malheureusement, à cause d’un accident, il perd la vue dans son enfance et devient donc aveugle. Il est brillant à l’école et devient même par la suite enseignant. Sa passion et ses capacités l’ont amené à réfléchir sur les moyens mis en place concernant l’aide apportée aux malvoyants, et il mit en place un nouveau système sur la base d’une lecture effectuée par le toucher.
En quoi consiste le braille ?
Il s’agit de petits points saillants qui correspondent à des lettres, des chiffres et des signes. Lorsque la personne malvoyante passe son doigt sur ces points, elle peut alors interpréter ce qui y est écrit. Il s’agit ainsi d’une écriture codée, que tous les malvoyants peuvent interpréter. En plus de pouvoir la lire, les personnes malvoyantes peuvent également écrire en utilisant ces codes.
La langue Braille a ainsi commencé, et déjà à l’époque, elle était considérée comme une solution efficace pour que les personnes malvoyantes puissent communiquer.
Les améliorations apportées au brailleLe braille a permis aux personnes malvoyantes de communiquer plus facilement. Cette méthode, s’avérant efficace, elle a donc été adaptée dans d’autres domaines.
Avec le temps, bien sûr, des améliorations ont été effectuées, bien que le système de base soit resté le même.
Intéressons-nous maintenant de plus près aux différentes améliorations qu’a reçu le braille.
Les mathématiques :
L’apprentissage ne se limite pas seulement à la lecture, en effet, il existe en plus de l’alphabet, un code spécifique suivant le même système de points saillants qui offre la possibilité aux malvoyants d’effectuer certains calculs.
Certaines personnalités ont d’ailleurs réussi à marquer l’histoire de cette discipline, dont Louis Antoine, topologue et géomètre français. On lui doit les signes, permettant de traduire un langage mathématique, encore utilisés aujourd’hui.
Louis Antoine a également montré que l’on pouvait enseigner tout en étant malvoyant, et s’est battu pour que les personnes aveugles ne soient pas exclues du métier de professeur.
La musique :
Devenir musicien demande de savoir lire une partition.C’est pour cela que dans ce domaine aussi le code pour personne malvoyante a été utilisé. Chaque note correspond à un code, elles peuvent donc lire une partition, et même en écrire une. Cette amélioration a permis à de nombreuses personnes malvoyantes de s’ouvrir à la passion pour la musique, et même pour certains, d’en vivre.Louis Braille, qui était un organiste talentueux, était déterminé à apprendre à ses élèves à pouvoir lire et jouer de la musique.
La technologie
De nos jours, qui ne possède pas un ordinateur, un smartphone, une tablette, etc. ?
Mais alors, est-ce que les personnes malvoyantes peuvent elles aussi profiter de cette technologie ? La réponse est oui. Mais alors comment ?
De nombreuses améliorations ont pu être apportées, par exemple, il existe des logiciels qui permettent de traduire une page en braille. Afin de la lire, la personne malvoyante doit brancher à l’ordinateur un appareil spécial afin de lire en braille. De ce fait, elle n’a plus qu’à passer son doigt sur la machine pour lire cette page. La personne malvoyante a aussi la possibilité d’écouter la lecture d’une page à l’aide d’un système de synthèse vocale.
Sachez qu’il existe également des imprimantes en braille qui permet d’imprimer une page sur internet automatiquement en braille. Le braille est donc bien plus qu’un outil de langage pour malvoyants, c’est un réel outil pour leur quotidien.
Si l’on vous dit alpha, bêta, gamma, à quoi pensez-vous ?Eh oui, vous pensez directement au grec, ou plus précisément à la langue grecque. En effet, ces noms de lettres correspondent bien aux lettres grecques. De nos jours, ces noms sont souvent utilisés, c’est pourquoi de nombreuses personnes connaissent en partie l’alphabet grec. En revanche, la plupart de ces personnes ne connaissent pas l’histoire de la langue grecque, c’est-à-dire l’origine de celle-ci, mais aussi son influence et sa popularité.Dans cet article, nous allons nous intéresser à son histoire afin de découvrir cette magnifique langue de plus près. Intéressons-nous d’abord à l’origine de la langue grecque.
L’origine de l’alphabet grec
Si l’on vous pose cette question : “ Qui a inventé l’alphabet grec ? ” Que répondriez-vous ? Les Grecs ? Eh bien, non, vous êtes tombés dans le panneau. En effet, ce ne sont pas les Grecs qui ont inventé cet alphabet, mais une autre nation, à savoir les Sémites. Comment se fait-il qu’ils aient pris l’alphabet aux Sémites ? Tout simplement parce qu’ils faisaient beaucoup de commerce entre eux. Il est d’ailleurs facile de prouver cela, puisque l’alphabet grec ressemble beaucoup aux caractères hébreux. En plus de l’alphabet, lorsqu’on analyse le grec et l’hébreu, on se rend compte que la prononciation aussi est très similaire. Voyons quelques exemples :
alpha (grec), ‘alèph (hébreu)
bêta (grec), beth (hébreu)
delta (grec), dalèth (hébreu)
Greek alphabet letters or symbols with names in vector set
Hebrew Alphabet set
Il s’agit juste d’un aperçu en ce qui concerne la ressemblance entre le grec et l’hébreu. Le fait que les Grecs ont emprunté l’alphabet sémitique avait une vraie raison. En effet, cela a permis d’améliorer et d’enrichir leur langue. Par exemple, à l’origine, la langue grecque n’avait pas de voyelles, ils utilisaient uniquement des consonnes. En empruntant les lettres (voyelles) aux Hébreux, ils avaient donc le moyen d’associer ces voyelles aux consonnes déjà existantes, afin d’avoir des mots beaucoup plus riches et plus jolis à prononcer. Sachez par ailleurs qu’à l’origine, on parlait de la langue grecque comme de “La koinè”. Cette langue a vécu environ 800 ans, et plus précisément, d’environ 300 avant notre ère, à environ 500 de notre ère.
Old greek scriptures in Ephesus Turkey – archeology background
De nos jours, l’alphabet grec est toujours d’actualité et est toujours utilisé par la population grecque. Sachez d’ailleurs que le grec moderne est tiré de la koinè. Maintenant que nous avons analysé l’origine de l’alphabet grec, intéressons-nous à l’influence qu’elle a eue à travers le temps.
L’influence de l’alphabet grec et de la langue grecque
Lorsqu’on regarde l’histoire, on peut dire que l’alphabet grec a eu une grande influence sur de nombreuses langues et ethnies. Nous pouvons le voir en étudiant les différentes périodes nous menant jusqu’à aujourd’hui.
La période médiévale
Comme nous l’avons vu, la koinè a été utilisée jusqu’aux années 500 de notre ère. En revanche, l’alphabet grec n’a pas disparu. En effet, la koinè a inspiré une nouvelle langue grecque, à savoir le grec médiéval. Il s’agit de la langue qui était utilisée par l’Empire romain d’Orient. Cette langue a été utilisée durant un peu moins d’un siècle, puisqu’on situe sa fin vers les années 1450. Mais alors, après ces années, y a-t-il eu la fin de l’alphabet grec ? Non, loin de là…
Ancient Greece mythology. Antic history black silhouettes of people and gods on pottery. Vector archeology pattern mythological culture on ceramics illustration
L’époque moderne
Comme depuis son commencement, la langue grecque n’a jamais disparu, mais elle a toujours évolué. Et le grec médiéval n’a pas échappé à la règle. En effet, il a été une source d’inspiration pour la langue grecque qui est apparue après les années 1450, à savoir, le grec moderne. Il s’agit tout simplement de la langue officielle de la Grèce, c’est-à-dire la langue grecque que l’on retrouve aujourd’hui. En plus de la Grèce, on retrouve cette langue dans l’île de Chypre. La langue grecque a donc tout simplement évolué durant les années pour arriver à la langue que nous connaissons plus ou moins aujourd’hui. Sachez également que durant ces années, elle a été une source d’inspiration pour d’autres peuples.
Aimez-vous le cyrillique ? Si oui, vous avez peut-être effectué des recherches sur l’origine de cette langue. Si c’est le cas, vous avez sûrement été surpris de constater que le cyrillique a été inspiré du grec. En effet, un prêtre du nom de Cyrille aurait emprunté l’alphabet grec en effectuant quelques changements afin de créer le cyrillique.
Outre le cyrillique, l’alphabet grec a été aussi une source d’inspiration pour un empire très puissant, l’Empire romain. Eh oui, l’alphabet latin est en réalité une copie ou un dérivé de l’alphabet grec. Cela veut donc dire que toutes les langues issues du latin sont en vérité issues du Grec. C’est d’ailleurs pour cela que l’on retrouve aujourd’hui dans les langues dites d’origine latine de nombreux mots dont la racine provient du grec. Par exemple, tout le monde connaît le mot « anthropologie ». Eh bien, ce mot provient du grec. Il provient de deux mots grecs, à savoir « anthropos » (homme) et « logos » (connaissance). Les termes grecs définissent bien le mot « anthropologie », qui définit l’étude ou la connaissance de l’être humain.
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En étudiant l’histoire de l’alphabet grec, cela vous a peut-être donné envie d’en savoir plus, ou même envie d’apprendre cette langue. Nous vous conseillons d’améliorer votre connaissance en approfondissant cette magnifique et historique langue.
Vous êtes-vous déjà demandé d’où venait l’écriture arabe ?En réalité, les origines de cette belle écriture sont à l’image de son alphabet : mystérieuses et complexes. Si la langue arabe était parlée bien avant notre ère, les premières transcriptions, elles, étaient d’abord issues d’autres systèmes d’écriture que l’arabe. Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous offrons une plongée au cœur du passé de l’écriture arabe !
Écriture pré-islamique
Avant l’islam, des systèmes d’écriture existaient dans la péninsule arabique et en Jordanie. Ces systèmes dateraient du VIII° siècle avant JC. Les alphabets utilisés étaient alors issus de l’écriture sud-arabique. L’écriture s’écrivait de la droite vers la gauche, comme l’arabe ou l’hébreu.
La forme cursive, selon laquelle les lettres sont liées entre elles, aurait été employée jusqu’au VI° siècle, et même au-delà, à l’époque islamique.
L’alphabet araméen était utilisé dans les premières inscriptions et jusqu’au VI° siècle en Syrie ou en Arabie du Nord. Les avis des historiens divergent quant à la langue employée pour ces inscriptions.
Panorama od old town , mountains of Sharm El Sheikh. Egypt.
Les prémices de l’écriture arabe
La langue arabe aurait été parlée avant notre ère dans la région de l’actuelle Jordanie. Les Nabatéens notamment, l’utilisaient à l’oral mais à l’écrit, ils employaient un dialecte araméen.
Les premiers écrits arabes étaient ainsi issus d’autres systèmes d’écriture d’origine sémitique, comme l’araméen ou encore le syriaque. Ces écritures dérivent de l’alphabet inventé par les Phéniciens deux mille ans avant notre ère. Le syriaque repose sur un alphabet particulier encore utilisé de nos jours par certaines communautés. L’écriture syriaque était très répandue dans le Moyen-Orient, notamment dans les écrits officiels ou utilitaires.
Les écritures des langues sudarabiques employées au sud de la péninsule Arabique possédaient leur propre système de graphie. Le sabéen notamment était encore utilisé au 6ème siècle. La majorité des spécialistes considère que l’écriture arabe est issue de l’alphabet nabatéen, transmettant l’araméen.
Relics of historic stone buildings engraved with Roman friezes of floral patterns and text at the protected Carthage ruins in Tunisia.
Le développement de l’écriture arabe
Il faut remonter au 5ème siècle, avant l’Islam, pour retracer les premières traces de l’écriture arabe. Des écrits ont été retrouvés en Syrie et en Jordanie. Une évolution des langues et de leur système d’écriture dans cette zone géographique a donné naissance à l’arabe. L’écriture arabe est apparue après la disparition des systèmes d’écriture sudarabiques qui possédaient 28 lettres.
L’écriture arabe s’est peu à peu développée à partir de la langue parlé. La langue, elle, s’est imposée dans les domaines culturels, littéraires, juridiques ou scientifiques. L’arabe écrit a été utilisé pour transcrire le texte coranique. L’alphabet arabe s’est alors imposé dans d’autres écrits comme le turc, le persan au Moyen-Orient, l’ourdou en Inde, le croate en Europe ou l’haoussa en Afrique.
ancient old sheets of paper from the Arabic book, the Koran
L’expansion de l’écriture arabe
Le développement d’une écriture s’accompagne souvent de profonds changements sociaux-culturels. L’Empire musulman a rendu obligatoire l’écriture arabe dès la fin du VII° siècle. Ce mode de transcription a connu un développement très important au Proche-Orient et au Maghreb. Cette progression est due à la diffusion de l’islam.
Plusieurs autres facteurs ont favorisé le rayonnement de l’arabe écrit :
développement de la communication écrite ;
transmission du savoir ;
reproduction du Coran ;
diffusion des sciences religieuses ;
traductions de textes scientifiques et philosophiques ;
fonction utilitaire et ornementale.
L’écriture arabe a supplanté l’ancien alphabet araméen à travers son propre système graphique. La calligraphie unique en fait également un art. Elle jouit aujourd’hui d’un rayonnement international.
Beginner Arabic language learner writing Hello word Marhaba in abjad Arabic alphabet on a notebook close-up shot
Caractéristiques de l’écriture arabe
L’alphabet arabe comprend 28 lettres. Il est dit de type « abjad », c’est-à-dire qu’il est uniquement composé de consonnes. Les voyelles relèvent de la phonétique, elles s’entendent mais ne s’écrivent pas obligatoirement. Cela conduit à une représentation graphique partielle de la langue orale. L’avantage est la vitesse de l’écriture et, de fait, un apprentissage de l’arabe écrit plus rapide que certaines autres langues.
Certaines voyelles longues (a, i, u) sont représentées par des signes à valeur consonantique. La ponctuation joue aussi un rôle dans la représentation des voyelles. En effet, depuis le VII° siècle, les points servaient à représenter les voyelles brèves.
Selon la position de la lettre à l’intérieur du mot, les lettres ne s’écrivent pas de la même façon. Par ailleurs, le système graphique ne comprend pas de majuscules. La langue arabe s’écrit en attaché : les lettres sont presque toutes attachées aux lettres suivantes, à l’exception de 6 lettres.
La particularité tient non seulement à la calligraphie mais aussi à la phonétique. Pratiquement chaque lettre renvoie à un son déterminé. Pour reproduire un son, il suffit de transcrire sa graphie à l’aide d’une lettre et non pas un ensemble de lettres. Cela simplifie l’apprentissage de l’orthographe, vous ne trouvez pas ?
Reconnue comme un art depuis des siècles, la calligraphie donne enfin une apparence unique et magique à la langue.
L’alphabet est très différent de l’alphabet latin et la calligraphie est en apparence complexe. Cependant, l’apprentissage de l’arabe reste relativement simple et peut être rapide. Pour cela, vous devez cependant bénéficier d’une méthode d’apprentissage efficace.
Arabic alphabets with english pronunciation
Que ce soit pour le russe, le serbe ou l’ukrainien, apprendre l’alphabet des pays de l’est européen si différent du nôtre, semble inaccessible voire totalement impossible. L’alphabet cyrillique est pourtant le troisième alphabet officiel utilisé en U.E, alors est-il si éloigné de celui utilisé par les populations latines ? D’où viennent cette écriture et ses caractères spéciaux ? De son origine à son expansion dans le monde, nous vous expliquons tout !
La naissance du cyrillique.
C’est en Grande Moravie (ancien royaume) au milieu du IXème siècle que ces caractères propres aux langues slaves font leur apparition. A cette époque l’Europe est en plein processus de christianisation et les moines chargés de transmettre leur religion se heurtent à un obstacle de taille : l’incompréhension des peuples. En effet, il n’existe aucun caractère écrit pour traduire le vieux-slave puisqu’il ne s’utilise qu’à l’oral. C’est pourquoi deux frères et moines byzantins, Méthode et Cyrille, décident de créer un type de lettres permettant à tous de communiquer. Aujourd’hui ils sont reconnus comme les « Apôtres des Slaves » pour avoir été les principaux acteurs de l’évangélisation de l’Europe centrale et de l’Est.
Glagolitique et cyrillique, c’est la même chose ?
Vous pensiez que les pictogrammes qui composent l’alphabet slave ont toujours été tels que nous les connaissons aujourd’hui ? Détrompez-vous. Les premiers lettrages inventés par le moine Cyrille étaient en réalité ce que nous appelons le Glagolitique. Largement inspiré de l’hébreu ainsi que du grec (qui était la langue la plus répandue dans cette région à cette époque), il se composait de 863 caractères comparables au croate actuel. Avec le temps il a évolué, adoptant une forme de calligraphie moins arrondie et abandonnant beaucoup de caractères pour arriver enfin aux 33 utilisés de nos jours.
Alphabet et religion : Union et séparation.
Nous l’avons vu précédemment, le but premier de sa création était d’évangéliser les populations qui avaient peu de connaissance du grec ou du latin. C’est alors que les deux moines ont traduit les textes religieux initialement écrits en grec, et ont ainsi répandu leur foi dans les territoires de Moravie. Malgré leur réussite à unir les peuples autour du christianisme, ces lettrages de l’ancien-slave ont été abandonnées au fil des siècles par les chrétiens catholiques au profit des lettres latines. Ces derniers marquaient ainsi leur différence avec les orthodoxes qui eux, ont conservé les cyrilliques. Malgré l’adoption du latin, certaines régions continuent de garder un lien avec le vieux-slave, notamment à l’écrit.
Des déclinaisons de l’alphabet dans chaque pays.
Tout comme l’anglais littéraire varie entre l’Irlande, l’Angleterre ou les Etats-Unis, l’alphabet cyrillique connaît aussi ses déclinaisons. Par exemple, en visitant la Bulgarie vous pouvez rencontrer des caractères qui vous étaient inconnus si votre apprentissage s’était concentré sur le russe. Cela ne vous empêchera en aucun cas de lire ou d’avoir une conversation puisque ces variantes sont principalement orales. Il arrive aussi que des caractères soient ajoutés pour retranscrire certains sons, notamment pour aider à la compréhension des différents dialectes présents en Russie. Le plus étonnant ? Certaines régions de Roumanie offrent leur lot de variantes, bien que le langage officiel du pays soit à consonance latine.
Le cyrillique à la conquête de l’occident ?
C’est en 2007 avec l’adhésion de la Bulgarie à l’Union Européenne, que l’occident a commencé à tisser ses premiers liens solides avec ce style de calligraphie. Bien que la Bulgarie soit pour le moment le seul pays à l’utiliser, il est le troisième alphabet officiel de l’U.E. Il se pourrait qu’à l’avenir il prenne une place plus importante, notamment grâce à l’Ukraine qui a déposé une demande officielle d’adhésion en février 2022. Par ailleurs, la France fait un premier pas vers une cohabitation des deux alphabets : Elle va prochainement diffuser des programmes télévisés, sous-titrés en cyrillique, afin de faciliter l’intégration des réfugiés ukrainiens récemment arrivés sur le territoire.
L’importance de l’alphabet dans la culture.
Pour les peuples de l’Est, l’éducation et la culture constituent les principaux piliers de leur Histoire. C’est pourquoi ils glorifient le 24 mai la « fête de l’écriture, de l’éducation et de la culture slave », en hommage à la création des alphabets et en l’honneur des saints frères Cyrille et Méthode, qui sont vénérés dans tous les pays orthodoxes. C’est à cette même date que la Bulgarie célèbre sa fête nationale, en raison de son indépendance culturelle qu’elle attribue aux deux frères. En effet, ce sont eux qui auraient permis l’ouverture sur le monde, notamment grâce à leurs traductions de textes religieux.
L’apprentissage du russe.
Avec une histoire si riche et qui a si souvent évolué, la langue des Tsars ne cesse de déchainer les passions et de conquérir l’Europe. A l’heure actuelle, elle est la huitième langue la plus parlée dans le monde ! Environ 60 millions de personnes se sont déjà lancés dans l’apprentissage du russe, alors pourquoi pas vous ? Il n’attend que vous !
Une langue étrangère est toujours un atout dans une carrière. Cela représente un véritable levier pour la réussite dans la vie professionnelle. Les personnes polyglottes sont plus productives, plus créatives et plus innovantes. Vous cherchez à apprendre une nouvelle langue, mais vous ne savez pas par quel bout commencer ? Alors cet article est fait pour vous ! Nous allons décortiquer toutes les étapes nécessaires pour réussir à apprendre une langue étrangère (chinois, russe, italien, japonais, anglais, espagnol, etc.).
Pourquoi apprendre une nouvelle langue ?
Tout d’abord, pourquoi apprendre une nouvelle langue ? C’est une question sur laquelle tous les spécialistes sont d’accord : apprendre une langue étrangère est un vrai moteur pour le développement de la personnalité. Ceci donne la possibilité de s’ouvrir à de nouvelles cultures, de nouveaux pays, de nouvelles personnes.
Apprendre une langue étrangère est également l’occasion de développer des compétences que l’on ne connaissait pas avant. On apprend à se remettre en question, on développe notre autonomie, notre esprit de synthèse et notre créativité. On augmente également sa capacité à travailler en équipe. Avec une langue étrangère, vous pouvez vous ouvrir au monde et développer vos compétences dans un autre domaine que celui auquel vous êtes habitué. Cela vous permet de découvrir de nouvelles choses et de nouvelles personnes.
Connaître une nouvelle langue vous donne également la possibilité de faire de nouvelles rencontres et d’entretenir vos nouvelles relations. De plus, l’apprentissage d’une nouvelle langue permet d’améliorer votre CV et votre employabilité. Il montre votre capacité à vous adapter à de nouvelles situations et à travailler dans des environnements multiculturels.
Comment apprendre une langue étrangère ?
Pour apprendre une nouvelle langue, il existe plusieurs moyens. Si vous n’avez pas le temps d’aller à l’étranger, vous pouvez toujours apprendre une langue de plusieurs autres manières.
Apprendre seul avec des applications et plateformes d’apprentissage
Il existe plusieurs applications pour débutants et intermédiaires. Chez Globe Speaker, nous avons développé une plateforme ludique, pensée langue par langue en fonction de ses caractéristiques pour une meilleure efficacité et un apprentissage durable. Notre application vous permet de vous former où et quand vous voulez, de réviser votre grammaire, mais aussi de pratiquer votre accent et votre prononciation. Elle se veut d’ailleurs très ludiques et vous permettant d’apprendre à votre rythme, dans un environnement sécurisant grâce à une méthodologie reconnue.
Saviez-vous que certains de nos étudiants atteignent un niveau intermédiaire en à peine quelques mois ?
Apprendre les langues grâce à différents supports audios, vidéos et écrits
Cette méthode très efficace vous permet d’apprendre la langue en écoutant et en lisant au travers de différents supports : films, séries, vidéos, musiques et livres. Vous pouvez par exemple regarder des films en version originale, écouter des chansons ou écouter de la musique. Vous pouvez aussi regarder les séries télévisées originales pour apprendre à comprendre le langage familier et le vocabulaire typiques de chaque culture.
Cette méthode est très pratique, car elle vous permet de vous familiariser avec la langue sans aucune contrainte. La lecture également demeure un excellent moyen d’apprendre une nouvelle langue. Vous pouvez lire des livres, des magazines ou des journaux, et même des blogues. Vous pouvez aussi noter ce que vous ne comprenez pas afin de les vérifier auprès d’un natif.
Opter pour une classe de langue pour apprendre une langue étrangère
Apprendre seul via différents supports et applications est un bon moyen de progresser et savoir parler une nouvelle langue. Rien ne vaut pourtant l’aide d’un interlocuteur physique, une personne capable de vous enseigner et vous aider à apprendre la grammaire, et même la prononciation de plusieurs langues : chinois, russe, italien, japonais, anglais, espagnol, etc.
Si vous désirez obtenir les meilleurs résultats, il est conseillé de suivre une classe de langue. Vous pouvez ainsi éviter de passer par des étapes moins productives. Cette méthode est en effet très efficace pour apprendre une nouvelle langue puisqu’elle vous permet de découvrir et de comprendre le vocabulaire et la prononciation rapidement.
Sur Globe Speaker, nous vous proposons en complément de l’accès à notre outil e-learning, la possibilité de suivre des cours ou des séances de conversation avec nos professeurs. Ces offres sont éligibles au CPF et vous permettent ainsi de passer une certification linguistique qui vous permettra de justifier de votre niveau de langue auprès de votre employeur.
Le voyage : un excellent moyen d’apprendre une langue étrangère
Grâce au voyage, vous serez en mesure d’apprendre une langue étrangère efficacement. Vos interlocuteurs pourront vous aider à mieux comprendre les expressions et la prononciation. Si vous ne le savez pas encore, voyager est l’un des meilleurs moyens de se perfectionner dans une langue étrangère. L’avantage du voyage réside dans le fait que les échanges avec les locuteurs sont plus naturels que les cours dispensés dans une salle de classe. Vous êtes donc en mesure d’acquérir des connaissances plus approfondies sur la culture d’origine.
De plus, lorsque vous voyagez, vous avez l’occasion d’approfondir les connaissances linguistiques en étudiant le vocabulaire de la destination et en discutant avec les habitants. Vous pourrez ainsi apprendre, mais également découvrir le pays et les coutumes locales.
Apprentissage des langues et softs skills
Les softs skills sont quant à elles des compétences personnelles qui ont un avantage dans le monde du travail et dans la vie de tous les jours. Vous pourrez donc mettre en œuvre ces compétences dans votre vie quotidienne. Les compétences les plus utiles dans l’apprentissage des langues sont :
la flexibilité ;
l’esprit d’équipe ;
la capacité à résoudre des problèmes ;
une bonne écoute ;
accepter et profiter des critiques constructives.
Elles démontrent d’une bonne volonté d’apprendre, qui vient avec la confiance et augmentent à mesure qu’on les développe.
Maintenant que vous connaissez les différentes techniques de l’apprentissage d’une langue étrangère, vous savez que ce n’est pas si difficile. Vous avez non seulement l’occasion d’enrichir votre culture générale, mais également de faire des rencontres enrichissantes. L’apprentissage d’une langue étrangère est donc un projet qui doit être pris au sérieux et il faut dès à présent commencer à apprendre cette langue pour la pratiquer avec les locuteurs natifs dans un avenir proche.
Connaissez-vous l’origine, l’histoire et l’évolution de l’alphabet latin ? Parcourez cet article et découvrez toutes les réponses !
L’écriture a fait son apparition au IVe siècle avant Jésus-Christ en Mésopotamie, plus précisément à Sumer. Ce sont les Sémuriens qui sont les premiers à utiliser l’écriture. Au début, l’objectif étant de garder des traces du passé. Au fil du temps, pour apporter plus de précision, le clan a commencé à représenter graphiquement les sonorités de leur langue. C’est là le problème. Il est certainement évident que le scribe de la ville voisine utilise des symboles différents pour un même son.
C’est ainsi que la naissance d’un système d’écriture codifié a eu lieu. Il s’agit de l’alphabet. Via cet article, découvrez tous les points fondamentaux que vous devez absolument savoir au sujet de l’alphabet latin. Quelle est son histoire ? Son origine ? Son évolution ? Explication !
De l’alphabet phénicien à l’alphabet latin
Différents systèmes d’écriture ont fait leur apparition dans plusieurs coins du globe notamment en Égypte, en Mésopotamie, en Chine, etc. Mais la naissance de l’écriture alphabétique a eu lieu en terre de Canaan, plus précisément en Proche-Orient.Notez tout d’abord que l’ancien alphabet sémitique est un emprunt à la civilisation égyptienne. Le XIVe siècle avant J.-C. a été marqué par l’apparition d’une écriture alphabétique de 30 signes. C’est ce que nous appelons l’alphabet cunéiforme. Ce dernier disparu à la suite de la naissance de l’alphabet linéaire. C’est seulement à la fin de XIIe siècle avant J.-C. que l’alphabet classique de 22 lettres fut créé. À cette époque, la graphie de l’écriture et de la lecture se faisait désormais de droite à gauche.L’alphabet phénicien venait ensuite découper la syllabe en unité simple, en consonne et négligeait les voyelles. Peu de temps après, les Grecs adaptent l’alphabet phénicien à leur propre langue. Ils apportent ainsi de nombreuses modifications y compris la séparation des mots, l’utilisation des accents. Ils adoptent également un sens ionien de gauche à droite ainsi qu’un sens de lecture horizontale.Des années passèrent, l’alphabet grec inspira plusieurs civilisations notamment les Étrusques. Certains rois étrusques qui régnèrent sur Rome jusqu’au IVe siècle avant J.-C. les chassèrent. Ces rois sont originaires du Latium. Après avoir chassé les Étrusques, ces Latins empruntaient l’alphabet étrusque pour transcrire leur langue. Ce qui marqua l’introduction de l’alphabet en Italie. L’alphabet latin fut créé avec la création d’un alphabet de dix-neuf lettres.
L’alphabet latin : l’histoire
Base de la langue latine, l’alphabet latin que nous connaissons tous est né avec les Étrusques. Sa naissance a eu lieu à l’époque de la République romaine, tout comme dans plusieurs pays occidentaux. Cet alphabet a été inspiré de l’alphabet grec via l’alphabet étrusque. À cette époque, les lettres étaient au nombre de 19 et le sens de l’écriture n’était pas encore défini. Certaines inscriptions sont écrites de droite à gauche, alors que dans d’autres cas, c’est plutôt l’inverse. La graphie est donc différente d’une situation à une autre.En parlant de son origine, nous pouvons conclure que l’alphabet latin dérive de l’alphabet étrusque. Les Latins s’inspiraient de cette langue pour transcrire leur langue qui reste encore mystérieuse jusqu’à aujourd’hui. L’alphabet latin s’élargit avec l’Empire romain dans toute l’Europe. À ce moment-là, il n’y avait que des majuscules dans l’alphabet latin. C’est seulement à l’époque carolingienne que les Latins ont introduit petit à petit les minuscules.
Évolution de l’alphabet latin
De nos jours, l’alphabet latin comporte 26 lettres classiques : A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z. L’alphabet latin se présente comme étant une référence pour la majorité des pays d’Europe, plus particulièrement ceux qui ne possèdent pas d’écriture propre.À l’exception de l’anglais, les langues qui s’inspirent de cet alphabet utilisent des caractères supplémentaires en plus des 26 lettres de base. L’anglais reste ainsi la seule langue qui garde jusqu’à maintenant la version la plus classique de l’alphabet latin. Ces caractères supplémentaires sont généralement appelés les diacritiques.Pour l’alphabet français, il existe au total 42 caractères. Les Français utilisent treize caractères accentués en plus des caractères de base. Les caractères accentués sont généralement : À, Â, È, É, Ê, Ë, Î, Ï, Ô, Ù, Û, Ü, Ÿ. Ils utilisent également un caractère avec une cédille et deux ligatures qui sont Æ, Œ.L’alphabet espagnol comporte au total 28 lettres. Les 25 lettres sont identiques à l’alphabet français du W. Seulement, l’alphabet espagnol utilise le ch, le ll, le ñ. En espagnol, les voyelles peuvent aussi être accentuées par des accents toniques.La majorité des alphabets occidentaux dérive du latin y compris l’alphabet italien. Autrement dit, l’alphabet italien fait aussi partie des variantes de l’alphabet latin. La langue italienne comporte 21 lettres qui sont A, B, C, D, E, F, G, H, I, L, M, N O, P, Q, R, S, T, U, V et Z. Son alphabet compte également cinq lettres d’origine étrangère : J, K, W, X et Y. Les cinq lettres supplémentaires peuvent être d’origine grecque, anglaise, latine, etc. Tout cela pour vous dire que la langue italienne est une langue romane qui conserve certains systèmes d’écriture latine.
Vous souhaitez vous lancer dans l’apprentissage de la langue japonaise ? Avant tout, découvrez les différents systèmes d’écriture !
Les écritures japonaises
Plusieurs siècles se sont succédé pour stabiliser le système d’écriture japonaise. Au premier abord, l’écriture japonaise semble très complexe et difficile à maîtriser pour certains. Elle se compose généralement de trois systèmes d’écriture : les kanji, les katakana, les hiragana. Une phrase en japonais peut également comporter une combinaison de romaji ou lettres romanisées. Via cet article, découvrez tous les points essentiels à savoir au sujet de l’écriture japonaise. Une information qui vous sera grandement utile surtout si vous souhaitez étudier et vivre au Japon et que l’apprentissage de cette langue devient une obligation.
Tout savoir sur l’origine de l’écriture japonaise
Contrairement aux autres langues, la langue japonaise ne s’est développée que lors de la période Yamato. C’est seulement au Vème siècle, suite à l’introduction des idéogrammes chinois (Kanji) que le Japon à fait la découverte de l’écriture. Au début, les sinogrammes étaient utilisés pour des raisons diplomatiques et religieuses.
Au fil du temps, l’archipel nippon rencontre de nombreuses difficultés sur l’utilisation des kanji. Tout simplement parce que les caractères chinois sont monosyllabiques. Ainsi, pour écrire un seul mot japonais, il faudra utiliser plusieurs kanji aux traits plis complexes. C’est ainsi que la naissance des hiragana a eu lieu. L’objectif étant de réduire le nombre de traits pour écrire plus facilement le japonais.
Les hiragana sont plus particulièrement utilisés par les femmes. De leurs côtés, les hommes inventent leur propre système d’écriture basé sur les sciences et le bouddhisme. Il s’agit des katakana. Contrairement à leur origine, les deux alphabets sont actuellement utilisés par toute la population.
Les différents systèmes d’écriture
Comme nous l’avons déjà évoqué, en japonais, il existe différents types de caractères. La majorité des mots et des phrases japonais se compose aujourd’hui d’un mélange de Kanji et de Kana. Pour mieux vous éclaircir dans l’apprentissage de la langue japonaise, découvrez les spécificités des différents systèmes d’écriture.
Les Kana
Les Kanas ne sont autres que la deuxième génération de l’écriture japonaise. Il s’agit d’un système syllabique où chaque signe se rapporte à une syllabe. D’une manière générale, les Kana se divisent en deux parties.
En premier lieu, il existe les Hiragana. Pour débuter dans l’apprentissage de la langue japonaise, vous devez apprendre ces alphabets syllabaires. Les Hiragana contiennent 46 caractères de base d’une forme arrondie et sont plus utilisés écrire mots, des phrases japonaises d’origine nippone. Les Hiragana sont des Kana simples ou ordinaires utilisés pour écrire tous les mots grammaticaux natifs originaires du Japon.
Ils sont aussi employés pour écrire des suffixes suivant les racines kanji. Les Hiragana peuvent également remplacer les kanji trop compliqués. Avant de se lancer dans l’apprentissage des kanji et des katakana, vous devez tout d’abord justifier d’une solide maîtrise des Hiragana.
Également appelés Kana fragmentaires, les Katakana se composent habituellement de 45 signes de forme anguleuse. Ils sont utilisés pour écrire des mots étrangers, des noms propres, mais également des mots d’emprunt. Vous pouvez également les croiser dans les mangas puisque les katakana sont employés pour retranscrire un son ou un cri. Autrement dit, ils sont utilisés pour traduire un sentiment d’action brusque.
Les kanji
Comme vous le savez déjà, les kanji sont des idéogrammes importés de la Chine. Ils désignent un objet ou un concept. Plusieurs kanji peuvent aussi fusionner pour désigner un seul mot. Les kanji peuvent être utilisés comme des noms, des verbes, des adjectifs et dans certains cas, des adverbes. Les kanji comptent 2 000 idéogrammes pour un usage de base et 6 000 pour un usage normal.
La lecture des kanji est classée comme Onyomi : une lecture sonore empruntée à la Chine, ou comme Kunyomi qui désigne la lecture du sens. Cette dernière est native du Japon.
Les rōmaji
Les Japonais utilisent également des lettres romanisées pour épeler les sons. C’est ce qu’on appelle les rōmaji. Ils sont particulièrement utilisés lorsque le message en japonais s’adresse également à des non-japonais. C’est le cas des messages sur les affiches, les panneaux de signalisation, les passeports, etc.
En général, les rōmaji sont également utilisés pour faciliter la saisie sur ordinateur. En version numérique, de nombreux citoyens japonais préfèrent utiliser l’écriture latine pour exprimer les sons et les caractères japonais.
La calligraphie japonaise
Également appelée Shodo, la calligraphie japonaise se traduit littéralement comme étant la voie de l’écriture. Il s’agit d’un art très ancien inspiré de la Chine et qui se pratique au Japon depuis plus de 3 000 ans. La calligraphie se définit comme un moyen d’écriture et à la fois un art décoratif permettant d’écrire les idéogrammes au pinceau et à l’encre. D’une manière plus approfondie, c’est l’art de concevoir des symboles, des lettres japonaises en utilisant un pinceau trempé dans l’encre.
Réaliser une inscription calligraphique requiert donc un papier, un pinceau, un bâton d’encre et surtout d’une encre destinée à l’art de la calligraphie. Selon les croyances, la calligraphie permet de mieux maîtriser le corps et l’esprit. C’est aussi un véritable art de vivre permettant d’atteindre la longévité.
Les superstitions existent depuis que le monde est monde. Ces croyances irraisonnées, datant pour certaines de plusieurs siècles, cohabitent avec notre mode de pensée actuelle. Si certaines personnes sont plus superstitieuses que d’autres, nous avons tous dans notre quotidien des manies qui selon nous peuvent amener la chance et éloigner le mauvais sort. Voyons ensemble les superstitions dans différents pays.
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– Siffler
– Rentrer les pouces
– Marcher à reculons
– Parler en même temps
– Chanter
– Retourner le pain
– Croyances communes
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Superstition sonore : siffler
Siffler sa chanson préférée peut être un signe de bonne humeur dans certains pays mais, dans d’autres, siffler constitue une superstition et un véritable tabou. En Russie, il existe un proverbe qui dit « siffler l’argent ». Cela signifie que celui qui émet le sifflement va avoir des problèmes financiers. Il est donc conseillé de ne pas siffler que ce soit en intérieur ou en extérieur. Cette croyance se retrouve dans d’autres pays slaves. En Norvège, il ne faut pas siffler en direction du Soleil car cela emmènera la pluie. Il ne faut pas non plus siffler en direction des aurores boréales. On dit que cela alerterait les esprits de la lumière qui viendrait immédiatement emmener la personne ayant sifflé. Pour les faire fuir, il suffit de taper des mains.
Superstition populaire : rentrer les pouces
Une superstition japonaise consiste à rentrer les pouces une fois rentré dans un cimetière. En effet, le mot pouce en japonais se dit 親指 oyayubi a pour signification « le doigt parent ». Rentrer ses pouces permettrait de protéger ses parents de la mort.
Superstition noire : marcher à reculons
Au Portugal, marcher à reculons porte malheur. Le fait de marcher à reculons permet au Diable et aux mauvais esprits de montrer que l’on est pas sûr de soi et qu’on ne semble pas savoir où l’on va. Ces derniers se trouvant derrière se retrouveraient devant nous et en profiteraient pour saisir notre âme.
Porte malheur : parler en même temps
Dire le même mot en même temps qu’une personne peut surprendre, comme on serait tentés de le dire « les grands esprits se rencontrent »… mais en Italie ce n’est pas vraiment le cas ! Cela signifie que les personnes ne se marieront jamais, il faut lors se toucher le nez immédiatement afin de conjurer la malchance.
Superstition et religion : chanter
Tout comme le fait de siffler, chanter peut être un bon moyen de montrer sa joie. Or, aux Pays-Bas, il est préférable de ne pas chanter et surtout au dîner. Les superstitieux vous dirait que vous voulez inviter le Diable à venir profiter du souper.
Superstition française : Retourner le pain
Inutile de vous dire qu’en France le pain est sacré. Il n’y a pas plus grand amateur de pain au monde que les Français et vous en trouverez à toutes les tables. Mais l’un des grands tabous est de laisser le pain retourné sur la table. Cette pratique a pour origine le Moyen-âge où, le jour des exécutions, le boulanger gardait un pain de côté pour le bourreau. Il était reconnaissable entre tous car il était le seul retourné. Le prendre était un présage que le bourreau viendrait bientôt pour eux.
Croyances communes :
Il existe également de nombreuses superstitions communes tout droit venu de la religion chrétienne. Le fait de ne pas marcher sous une échelle qui est une référence à la Sainte Trinité et passer en dessous viendrait à la briser. Au Moyen-âge, elle était présente lors des pendaisons et est assimilée à la condamnation. Le fait de toucher du bois également comporte une raison religieuse. Les Celtes pensaient que les arbres abritaient des esprits, bons et mauvais, à qui on demandait protection ou bien que l’on chassait en tapant sur l’arbre. Les chrétiens ont lié la pratique avec le bois du crucifix. Au XIXe siècle, il existait en Angleterre un jeu d’enfant nommé « Tiggy Touchwood » où les enfants réclamaient l’immunité en tapant un bout de bois dans la pièce. Les adultes ont pris l’habitude et l’ont continué.
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Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à aller en découvrir davantage sur notre vidéo YouTube et à découvrir des superstitions spéciales Chine sur le blog des Petits Mandarins ! Globe Speaker est le site idéal pour en apprendre plus sur les langues, sur les cultures et devenir ainsi un citoyen du monde !
Sources :https://www.stuff.co.nz/life-style/parenting/pregnancy/88535413/13-pregnancy-superstitions-from-across-the-globehttps://www.goodhousekeeping.com/life/g4489/strangest-superstitions/?slide=24
Chaque année, entre mai et juin, les élèves du monde entier en dernière année de lycée vivent l’un des moments les plus stressants de leur scolarité : l’examen de fin d’année qui leur permettra d’accéder à l’université. Découvrons ensemble ce diplôme dans les différents pays.
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1. La France
2. Le Royaume-Uni
3. Les Etats-Unis
4. La Jordanie
5. L’Espagne et les pays hispanophones
6. La Chine
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Les examens du baccalauréat en France
Le certificat de fin d’études de lycée en France se nomme Baccalauréat (plus souvent appelé bac dans le langage courant). Il se passe en juin en France et dans la plupart des DOM-TOM tandis qu’il se déroule en novembre en Nouvelle-Calédonie et à Wallis-et-Futuna. Le bac tel qu’on le connaît aujourd’hui dans l’Hexagone a été réformé par Napoléon Ier. Depuis 2018, il a été révisé. Une année avant la fin du lycée, en Première, on passe 2 examens ainsi qu’une épreuve écrite et orale en français. Puis, en Terminale, on passe un Grand Oral ainsi que les matières sportives et philosophiques. A cela s’ajoute la note de contrôle continu qui compte pour 40% de la note finale. La note est sur 20 et il faut la moyenne pour espérer l’avoir. Certains scores comportent des mentions. Le diplôme permettra ensuite aux étudiants d’accéder à l’enseignement supérieur. Les personnes sorties du cursus scolaire ont également la possibilité de le passer en candidat libre.
Le Royaume-Uni et l’examen A levels
Au Royaume-Uni, le certificat se nomme le A levels qui signifie niveaux avancés. Il fut mis en place en 1951 pour remplacer l’ancienne certification britannique. Les épreuves sont composées de l’enseignement reçu durant les deux dernières années d’études. Les étudiants peuvent choisir 3 matières à passer selon leurs préférences et aptitudes. Les sujets sont divers : les langues étrangères (Exemple : chinois mandarin, punjabi, russe), les langues locales (Exemple : le gallois, l’irlandais), les matières culturelles (Exemple : drama et théâtre, études religieuses). On retrouve aussi les plus classiques comme la littérature et l’anglais. Les étudiants sont notés du A (le meilleur) au E (le plus médiocre), le U signifiant unclassified si la copie est mauvaise. Le total permettra à l’étudiant d’obtenir une note lui permettant de rentrer dans des universités plus ou moins renommées.
Les Etats-Unis et le concours SAT
Aux Etats-Unis, on obtient le diplôme de fin d’études, le High School Diploma, grâce à un contrôle continu qui se fait 2 ans avant la fin du lycée. Cependant, ce diplôme ne permet pas de prétendre à un droit d’entrée à l’université. Pour pouvoir aller à l’université, les jeunes Américains doivent passer le Scholastic Assessment Test dit le SAT. Cette évaluation, qui dure 3h, se présente sous la forme d’un QCM qui évalue l’expression verbale, le raisonnement mathématique de l’étudiant et une rédaction est en option (50 minutes supplémentaires sont octroyés pour la rédaction). La note totale est de 1600 points, tout en sachant que donner une mauvaise réponse peut retirer des points. Il existe également le SAT Subject Plus qui permet d’effectuer des contrôles dans les matières appréciées de l’étudiant, ces tests permettent de d’orienter dans des facultés spécialisées. Le droit à l’examen est payant et coûte environ une cinquantaine de dollars. Les étudiants étrangers voulant s’inscrire dans un campus américain sont également obligés de le passer.
Le diplôme du Tawjiri en Jordanie
Le diplôme passé en Jordanie se nomme le General Secondary Education Certificate, plus communément appelé Tawjiri. L’étudiant doit avoir fait 2 ans de maternelle, 10 ans d’école et 2 années académiques de préparation du Tawjiri pour pouvoir se présenter. Les sujets du Tawjiri sont les suivants : arabe, anglais, mathématiques, physique-chimie, biologie, informatique, géologie, études civiles et études de l’Islam ou du Christianisme. Le total est un pourcentage sur 100 et il faut un minimum de 40% de réussite pour rentrer ne serait-ce que dans une université locale. La Jordanie est reconnue comme étant le pays numéro un du monde arabe dans la sphère éducationnelle.
Le Bachillerato, l’évaluation des pays hispanophones
En ce qui concerne l’Espagne et les pays hispanophones (l’Argentine, la Colombie etc…), tous passent ce que l’on appelle el Bachillerato. Le programme du bachillerato se fait sur 2 ans. Tout d’abord, il y a une possibilité pour les jeunes Espagnols de choisir entre 3 filières : la filière artistique, la filière mathématique et la filière sociale. En plus d’avoir des matières générales comme l’espagnol et les langues étrangères, les étudiants ont des épreuves dans les matières spécifiques de leur filière comme culture audiovisuelle, mathématiques ou sociologie. Cependant el Bachillerato ne permet pas de rentrer à l’université. Pour cela, il faudra que l’étudiant passe la Selectividad. Chaque université a son propre score de réussite à la selectividad qui pourra être complété avec la note du contrôle continu des 2 années de lycée.
La Chine et son épreuve du Gaokao
L’examen de fin de scolarité au lycée en Chine s’appelle le Gaokao. Le Gaokao, un examen tout droit venu des examens impériaux de la Chine antique est considéré comme l’examen le plus difficile au monde. Chaque année, les jeunes Chinois misent tout sur cet examen qui pourra leur ouvrir les portes des plus belles universités en fonction de leur taux de réussite basée sur 100 points. Le test est un QCM sur les matières suivantes : chinois, anglais, mathématiques et au choix sciences naturelles ou sciences sociales. Les parents prient pour la réussite de leur enfant et, pendant les jours du concours, les citoyens et forces de l’ordre font en sorte qu’il n’y ait aucun bouchon ni aucun bruit qui pourrait perturber les élèves. L’examen étant très stressant pour les élèves, des banderoles d’encouragements sont suspendus par les plus petites classes du lycée afin de soutenir moralement les futurs lauréats.
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Sources :https://en.wikipedia.org/wiki/Tawjihihttps://www.nouvelobs.com/education/20130616.OBS3509/bac-comment-font-les-autres-pays.htmlhttps://www.francetvinfo.fr/societe/education/refondation-de-l-ecole/les-equivalents-du-bac-a-travers-le-monde_2467864.htmlhttps://es.wikipedia.org/wiki/Bachilleratohttps://lepetitjournal.com/madrid/actualites/etudier-en-espagne-le-bachillerato-kesako-26198https://fr.wikipedia.org/wiki/Selectividadhttps://en.wikipedia.org/wiki/GCE_Advanced_Level_(United_Kingdom)https://www.ef.fr/blog/language/les-7-principales-differences-entre-les-lycees-francais-et-americains/
Les droits de l’homme mentionne dans l’article 22 que « toute personne a le droit à la sécurité sociale ». Ce droit humain à la protection sociale permet de lutter contre l’extrême pauvreté et l’inégalité sociale. Découvrons ensemble les différentes assurances maladies dans le monde.
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La France
Le Royaume-Uni
Les Etats-Unis
L’Espagne
Les Emirats Arabes Unis
La Russie
La Chine
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L’Assurance Maladie en France
La France est le deuxième pays au monde à avoir mis en place la Sécurité Sociale derrière l’Allemagne. Mise en place en 1943 par Ambroise Croizet, député communiste du Front Populaire, ce système de protection sociale est considéré à l’heure actuelle comme l’un des meilleurs au monde tant son taux de remboursement est élevé. Il existe 3 couvertures : le régime général (dont bénéficie 61 millions de Français), le régime agricole ainsi que le régime indépendant pour les non-salariés. L’Assurance Maladie financée, d’une part par l’employeur et d’une part par l’employé, peut être améliorée grâce à des régimes complémentaires telles que les assurances ou les mutuelles privées. Ces complémentaires peuvent être proposées par l’employeur ou être contractées à titre privé. Il existe la notion également de tiers-payant qui permet d’avoir ses frais (optiques, dentaires, hospitaliers) pris en charge sans avoir à avancer la somme.
La protection sociale au Royaume-Uni
La couverture sociale dont bénéficie le Royaume-Uni a l’heure actuelle a été crée en 1911 par la National Insurance Elle a étoffé son offre en 1945 grâce à Lord William Beveridge. Elle s’obtient grâce à la résidence sur le territoire. Le financement est réalisé grâce aux impôts et aux cotisations (calculées selon les ressources et les conditions de chaque citoyen). On note 2 offres de prestations de santé : une pour les salariés et une pour les indépendants. Elle ne couvre cependant pas les interventions de type dentaire et hospitalisation qui reste à la charge de l’assuré.
Les Etats-Unis et le dispositif Obama Care
Le régime général aux Etats-Unis a été crée en 1935, or il n’existe toujours pas de structure telles que les allocations familiales. L’ancien président des Etats-Unis, Barack Obama, a mis en place en 2014 un plan nommé Affordable care (plus connu sous le nom d’Obama Care). Ce dispositif énonce que chaque ressortissant américain, s’il n’est pas assuré par sa société, se doit d’avoir un accès à la santé décent et de souscrire un contrat à une couverture privée. Il a également été mis en place une assistance nommé Medicaid qui permet aux personnes les plus démunies et en situation de précarité de recevoir un certain niveau de prévenances.
L’Espagne et son régime général
L’Espagne a adopté la politique caisse en 1963. Son aide se fait selon deux régimes : les salariés et les indépendants. Son système protège que ce soit pour différents évènements de la vie d’un travailleur comme la maladie, le chômage, la retraite et les décès. Cela est financé par des participations sociales ainsi que par le pouvoir public, le montant à verser est actualisé chaque année. L’Espagne dépense 6% de son PIB pour la santé. Les médecins, on en compte 4 pour 1000 personnes, sont directement payés par l’administration ce qui permet aux Espagnols de ne pas avoir à avancer les frais.
Les soins aux Emirats Arabes Unis
Les moyens dédiés à la santé aux Emirats ont été structurés en 2014 mais on ne parle pas de service publique. Les employeurs ont une obligation légale de fournir à leurs salariés une protection sociale privée. Les travailleurs doivent aller dans les hôpitaux et pharmacies partenaires listées par l’assurance. Aller dans un hôpital ne se trouvant pas sur la liste peut engendrer le risque de payer des frais qui ne pourront être correctement remboursés par rapport aux dépenses effectuées.
Le système de santé en Russie
La Russie a mis en place sa nouvelle contribution pour les soins dans les années 90 afin de remplacer son ancien système. Elle ne possède pas de sécurité sociale mais une assurance et la majorité de la population russe (146.7 millions d’habitants) est couvertes par ce droit. C’est un système qui possède 2 volets avec une base comprenant fonction obligatoire et une autre facultative. Elles sont financés par les employeurs et en dernier recours par le budget fédéral si le financement patronal n’est pas suffisant.
La Chine et les prestations de santé
Contrairement à ce qu’on peut penser, la Chine possède depuis 2011 une couverture de santé même si ce n’est pas une couverture nationale comme on peut l’entendre. Les ressortissants chinois tout comme les étrangers résidents doivent s’y affilier. Elle assure sur la vieillesse, la santé, la maternité, le chômage ainsi que les accidents du travail. Il est possible également de prendre une assurance à son compte. A la base uniquement réservée aux personnes vivant en zone urbaine, elle est maintenant disponible aux personnes du milieu rural. Il existe une carte que l’on donne à chaque consultation puis par la suite de l’argent est reversé sur cette carte en guise de remboursement qu’il est possible par la suite de retirer. Cependant, le coût des frais de santé étant très important, les Chinois sont habitués à mettre de l’argent de côté pour subvenir à ce type de dépenses.
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Sources :https://www.cleiss.fr/docs/regimes/regime_chine.htmlhttps://www.cleiss.fr/docs/regimes/regime_espagne_salaries.htmlhttps://www.cleiss.fr/docs/regimes/regime_russie.htmlhttps://www.cleiss.fr/docs/regimes/regime_royaumeuni.htmlhttps://blog.courrierinternational.com/correspondances-de-dubai/2020/01/21/la-couverture-sociale-aux-emirats-une-experience-a-lamericaine/https://www.cleiss.fr/docs/regimes/regime_etatsunis.htmlhttp://www.prosperity.com/rankingshttps://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9curit%C3%A9_sociale_en_France
L’anglais est une langue qui mérite d’être étudiée pour des raisons diverses et variées. Faisant partie de l’une des plus parlées dans le monde, elle ouvre un vaste champ des possibles pour qui veut bien la découvrir. Voici 5 raisons qui vous motiverons à apprendre cette langue.
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Aspect professionnel
Aspect éducationnel
Aspect sociétal
Aspect touristique
Aspect culturel
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Aspect professionnel
Apprendre l’anglais ouvre la voie à beaucoup d’opportunités professionnelles. De manière générale, elle est considérée comme la langue internationale des affaires et quant à certains métiers, ils demandent un excellent niveau en oral comme écrit. Vous trouverez notre article sur ces métiers en cliquant ici. Considérée comme un atout indéniable, elle est indispensable aussi bien pour obtenir un poste sur une position dans une entreprise multinationale que pour obtenir un travail à l’étranger. Sur votre CV, misez sur l’anglais !
Aspect éducationnel
Aussi bien pour les affaires que pour les études, le pratiquer est utile et ouvre bien des portes ainsi que les opportunités qui vont avec. Avec certaines des plus prestigieuses écoles de la planète se situant dans des pays anglophones (exemple : Cambridge pour le Royaume-Uni et Harvard et Harvard aux Etats-Unis, pour ne citer qu’elles), les opportunités de pouvoir faire de belles études et obtenir de bons diplômes sont possibles avec un bon registre. Non seulement pour les pays l’ayant pour langue maternelle mais également pour d’autres écoles dans le monde qui dispensent les cours en anglais.
L’aspect sociétal
En plus d’être parlé par les natifs de 53 pays, elle est surtout l’une des plus apprises du globe. Elle est ce qu’on appelle une « lingua franca », une langue véhiculaire, qui signifie que peu importe où vous vous situez vous trouverez toujours quelqu’un qui sait la parler ou la déchiffrer. Grâce à votre apprentissage de l’anglais, après avoir mémoriser quelques phrases et un peu de pratique, il vous sera toujours possible d’engager une conversation, d’interpréter et pourquoi pas créer des liens d’amitié.
L’aspect touristique
Comme cité ci-dessus, c’est un atout essentiel pour beaucoup de situations mais c’est une compétence qui peut également vous aider lors de vos voyages. Imaginez, vous êtes de nationalité française, vous rêvez de voyager en Inde et pourtant vous ne parlez pas l’hindi. Pas question de se priver d’un si beau voyage ! Un conseil : travaillez votre anglais ! En un court délai, vous serez capable de connaître quelques mots et de les utiliser. Vous trouverez toujours quelqu’un qui saura vous renseigner. De plus, dans certains lieux accueillant des touristes (aéroport, gares, musées etc…), elle sera probablement la seule que vous pourrez identifier.
L’aspect culturel
Elle vous permettra également de découvrir d’autres univers. Vous pourrez en savoir plus sur d’autres cultures car beaucoup de livres, et de documents de recherches, sur différents sujets sont écrits et traduits directement de celle-ci. Sans parler de regarder des films, des vidéos YouTube, des séries TV qui sont majoritairement en anglais et/ou non sous-titrés. Même écouter de la musique américaine et d’en comprendre les paroles ! L’assimiler c’est vous donner la possibilité d’ouvrir votre esprit à d’autres horizons et vous permettre de laisser libre court à votre passion.
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Le site en ligne Globe Speaker a pour but de vous ouvrir le champ des possibles avec une compréhension simple et efficace de l’anglais afin que vous puissiez lire et vous exprimer facilement. Ce dispositif, ayant été conçu pour petits et grands, a pour but de faire évoluer votre anglais dans une courte période grâce à une méthode intuitive, facile d’approche et surtout ludique. Nous voulons avant tout que cela reste un plaisir. Si vous débutez, nous souhaitons faire en sorte que vous puissiez voir votre progression à tout moment. Si vous avez déjà de bonnes bases nous espérons renforcer vos acquis et enrichir votre lexique. Et ce tous les jours avec des exercices sous formes de jeux divertissants, un vocabulaire et un contenu culturel riches ainsi que des leçons de grammaire et de linguistique adaptées à chacun grâce à des ressources écrites et audio. Nous offrons ainsi des solutions pour les débutants, intermédiaires et avancés afin que vous puissiez choisir. Nous dispensons également des séances de coaching, en accord avec vos besoins et votre emploi du temps, afin de vous permettre d’améliorer votre expression, prononciation et vous épauler pour éclaircir les éventuelles difficultés rencontrées.
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Dans la visée de vous dévoiler l’univers anglo-américain autre que par la parole, nous proposons des informations culturelles gratuites. Chaque semaine, dénichez de nouvelles informations sur la société anglaise directement sur notre chaîne YouTube ainsi que sur les applications Instagram et Facebook et même sur ce blog !
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Le droit à la formation : Comment faire financer votre formation en langues étrangères ?
Le chinois est à ce jour la langue la plus parlée au monde avec 1 012 milliards de locuteurs, selon les statistiques données par le site Geo. Venez découvrir dans cet article pourquoi vous devez apprendre le mandarin dès maintenant.
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Le chinois à l’international
La carrière professionnelle et la vie étudiante
La culture chinoise et son histoire
L’expérience de vie
L’apprentissage de la langue, lire et écrire les caractères
Découvrir la Chine
Les Petits Mandarins, une méthode simple et efficace pour apprendre le chinois rapidement en s’amusant
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Le chinois à l’international
Avec toutes ces personnes parlant le mandarin, soit 1 personne sur 6, vous trouverez toujours quelqu’un avec qui le pratiquer, que cette personne soit native ou qu’elle l’ait étudié. Connaître des notions de chinois c’est pouvoir discuter avec l’humanité entière. Vous pourriez apprendre l’anglais, mais avouez-le : le chinois c’est tout de même plus cool !
La carrière professionnelle et la vie étudiante
L’Empire du Milieu qui, quelques années auparavant vivait l’un des moments les plus difficiles de son Histoire, est maintenant l’une des plus grandes puissances économiques de cette planète, économie qui ne fait que s’accroître. C’est indéniable. Désormais, le chinois s’est fait une place de choix et ses locuteurs sont très recherchés dans la sphère professionnelle. Sans compter toutes les opportunités de postes sur place pour les expatriés qui sont infinies ! On trouve également sur le territoire de prestigieuses universités comme la Tsinghua University de Pékin et la Jiaotong University de Shanghai qui peuvent se vanter d’avoir le statut d’universités d’élite, de quoi vous permettre d’avoir un beau parcours dans vos études et sur votre CV.
La culture chinoise et son histoire
Civilisation 5 fois millénaire, la terre qui a vu naître de nombreuses dynasties regorge d’us et coutumes plus mystérieuses les unes que les autres pour notre œil occidental. Elle est une source inépuisable pour celui qui aime s’extasier devant la beauté du monde et ses cultures tant il y a de traditions et d’aspect culturel que ce soit au sein de la communauté Han, communauté majoritaire, qu’au sein des nombreuses ethnies autochtones qui la composent. Malheureusement, peu d’ouvrages sur les nombreuses coutumes du pays sont traduites dans la langue de Molière. Etudier le mandarin vous permettra de vous jeter à corps perdu dans ces ouvrages aux savoirs ancestraux. Cela vous permettra également de revoir les préjugés et à priori que l’on compte en bon nombre en ce qui la concerne.
L’expérience de vie
Le pratiquer et le maîtriser vous permettra non seulement de pouvoir échanger mais également de vous faire de nouveaux amis et de vivre des expériences inattendues. Les amateurs de l’Empire du Milieu sont aux quatre coins du globe et cela vous permettra de rencontrer des personnes auxquelles vous n’aurez jamais pensé ! Un bon moyen pour en savoir plus sur la Chine et sur les autres, cela vous apportera un beau vécu !
L’apprentissage de la langue, lire et écrire les caractères
Les caractères, les tons, la prononciation…Toute une panoplie qui peut faire peur au premier abord et pourtant si simple d’accès ! Pas de notion de grammaire ni de conjugaison, comme nous l’avons en français, ce qui rend les choses moins compliquées n’est-ce-pas ? Pour ce qui est des idéogrammes, tout part d’une idée ! En les apprenant, vous comprendrez toute la logique et, petit à petit, vous saurez rapidement les reconnaître et les lire. Puis comme disent les chinois 慢慢来 (ça vient doucement) ! Et puis de vous à nous, pratiquer la calligraphie chinoise ça en jette !
Découvrir la Chine
Niveau voyage, chaque lieu est un dépaysement ! De la mer à la montagne en passant de la ville à la campagne, des temples aux palais impériaux, il est le pays contenant le plus de sites inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO ! Il y en a pour tous les goûts et choisir un lieu est un véritable dilemme ! « Une vie ne suffit pas la visiter entièrement » disent les locaux. Sans compter la nourriture qui est l’une des plus riches, il est possible de manger tous les jours un plat différent pendant au moins un mois ! Partir en Chine, c’est prendre le risque de vouloir y revenir. De plus, l’Asie du Sud-Est a également une communauté sinophone conséquente, ce qui vous facilitera la tâche si vous voulez voyager dans ces contrées.
Les Petits Mandarins, une méthode simple et efficace pour apprendre le chinois rapidement en s’amusant
Les Petits Mandarins est une méthode d’apprentissage prouvée pour vous donner tous les outils nécessaires afin de découvrir de manière ludique cette langue que l’on considère complexe et qui est pourtant plus facile que ce qu’on ne le croit. Grâce à des jeux, créés par une professeure, votre initiation deviendra divertissante et même un vrai jeu d’enfant ! Vous vous amuserez sans vous rendre compte que vous êtes en même temps en train de travailler la lecture et l’oral. L’important pour nous est que vous puissiez prendre du plaisir dans votre parcours. Nous nous adaptons à tous, aussi bien aux débutants qu’aux experts, ainsi qu’à vos envies que ce soit pour le loisir ou pour valider des certifications telles que le HSK.
Vous manquez de temps ? Pas besoin d’y consacrer des heures, grâce à l’application vous pourrez réviser de n’importe quel endroit à n’importe quel moment afin que l’enseignement soit plus pratique pour vous. Nous proposons également des cours en ligne avec des coach vous permettant de vous aider dans vos étapes.
Vous rêvez d’apprendre le chinois et vous avez un compte CPF ? Venez découvrir notre article de blog :
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