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Ouvrir la porte d’un foyer, c’est découvrir l’intimité d’une culture. L’agencement de la maison, la place des pièces, les habitudes de vie à l’intérieur : tout cela révèle bien plus que des préférences pratiques. Voici un tour d’horizon des façons d’habiter dans différentes régions du monde.
Le salon, cœur de la maison ou espace réservé ?
Dans beaucoup de pays occidentaux, le salon est l’endroit central, à la fois familial et social. En Corée du Sud ou au Japon, les pièces peuvent être multifonctionnelles et modulées selon le moment de la journée. Parfois, certaines pièces restent fermées aux visiteurs, réservées à la famille ou aux ancêtres.
Le rapport au sol : tapis, tatamis ou chaussures ?
Dans de nombreux pays d’Asie ou du Moyen-Orient, on se déchausse avant d’entrer chez quelqu’un, signe de respect et de propreté. Les sols sont parfois utilisés comme espace de repos, de repas ou de prière. Ce rapport au sol traduit une approche du confort et de l’intimité différente de celle des pays occidentaux.
Le rôle de la cuisine
La cuisine peut être ouverte et conviviale (comme en Scandinavie), ou au contraire séparée et fonctionnelle. Dans certaines cultures, elle est un espace réservé aux femmes. Ailleurs, elle devient le cœur de la maison, lieu de transmission culinaire et de rassemblement familial.
La chambre : espace privé ou collectif ?
Le concept de chambre individuelle est récent et occidental. Dans beaucoup de régions du monde, on partage sa chambre, voire son lit, avec ses frères et sœurs. La notion d’intimité varie selon les cultures, tout comme l’aménagement et l’usage de la pièce.
Comment on vit chez soi en dit long sur notre rapport à l’autre, à l’espace, à l’intimité. Explorer ces différences, c’est élargir son regard. Chez Globespeaker, l’apprentissage des langues est aussi une porte ouverte sur les modes de vie du monde entier.
Maîtriser une langue étrangère ne sert pas seulement à voyager ou à traduire des mots. C’est aussi un formidable levier pour développer des compétences comportementales très recherchées en entreprise : les soft skills. Communication, adaptabilité, confiance en soi... Apprendre une langue, c’est travailler bien plus que son vocabulaire.
Améliorer sa communication
Une langue, c’est un outil de relation. En apprenant à s’exprimer avec clarté, à comprendre l’autre et à écouter activement, on développe une meilleure communication — en langue cible comme dans sa langue maternelle.
Développer l’empathie interculturelle
Apprendre une langue, c’est aussi comprendre une culture, des codes sociaux et des manières de penser différentes. Cela stimule l’ouverture d’esprit, l’empathie et la capacité à travailler dans des équipes internationales.
Renforcer sa confiance en soi
Se lancer dans une conversation en langue étrangère, réussir à se faire comprendre, répondre à l’imprévu… Ce sont autant de petites victoires qui renforcent l’aisance et l’estime de soi.
Stimuler la mémoire et la concentration
Apprendre du vocabulaire, des structures, des sons différents : cela sollicite le cerveau de façon intense. Des études montrent que les personnes bilingues développent de meilleures capacités cognitives.
Montrer sa motivation et sa capacité d’apprentissage
Dans un CV ou en entretien, parler une langue étrangère est un signal fort. Cela prouve votre autonomie, votre curiosité, votre capacité à apprendre de façon continue : des qualités recherchées dans tous les métiers.
Apprendre une langue, c’est bien plus que parler anglais, espagnol ou chinois. C’est se transformer, s’ouvrir, se challenger. Avec Globespeaker, vous développez des compétences linguistiques, mais aussi humaines et professionnelles, qui vous suivront toute votre vie.
Ce qui fait rire dans un pays peut laisser de marbre ailleurs, voire créer des malentendus. L’humour est l’un des reflets les plus sensibles d’une culture : il dépend du langage, de l’histoire, des tabous et des codes sociaux. Comprendre l’humour d’une langue, c’est accéder à une forme de complicité culturelle.
Les types d’humour varient d’une culture à l’autre
L’humour britannique joue sur l’absurde et l’autodérision. En France, on aime le jeu de mots et la satire. Au Japon, le duo comique "manzai" repose sur les rôles opposés du "boke" (naïf) et du "tsukkomi" (celui qui corrige). En Russie, l’humour noir reflète souvent les épreuves de l’histoire.
Ce qui peut choquer ou déranger
Faire une blague sur la politique, la religion ou la famille est toléré dans certains pays, tabou dans d’autres. Les malentendus viennent souvent de ces différences culturelles. Un sketch inoffensif dans une langue peut devenir offensant traduit littéralement.
Les codes de l’implicite et du non-dit
Certaines cultures valorisent l’humour indirect, le double sens, l’ironie feutrée. D’autres préfèrent l’efficacité visuelle ou la caricature. Comprendre les règles du jeu linguistique est essentiel pour saisir l’intention derrière une plaisanterie.
Pourquoi l’humour rapproche
Rire ensemble crée un lien. Savoir utiliser (ou au moins comprendre) l’humour d’une autre langue, c’est entrer dans l’intimité sociale. Cela demande de la finesse, de l’observation, et une bonne dose d’auto-dérision aussi !
L’humour est une clé culturelle puissante. Avec Globespeaker, vous apprenez une langue dans son contexte, avec ses codes et ses subtilités. De quoi rire, parfois, mais surtout mieux comprendre l’autre.
Culture
Ouvrir la porte d’un foyer, c’est découvrir l’intimité d’une culture. L’agencement de la maison, la place des pièces, les habitudes de vie à l’intérieur : tout cela révèle bien plus que des préférences pratiques. Voici un tour d’horizon des façons d’habiter dans différentes régions du monde.
Le salon, cœur de la maison ou espace réservé ?
Dans beaucoup de pays occidentaux, le salon est l’endroit central, à la fois familial et social. En Corée du Sud ou au Japon, les pièces peuvent être multifonctionnelles et modulées selon le moment de la journée. Parfois, certaines pièces restent fermées aux visiteurs, réservées à la famille ou aux ancêtres.
Le rapport au sol : tapis, tatamis ou chaussures ?
Dans de nombreux pays d’Asie ou du Moyen-Orient, on se déchausse avant d’entrer chez quelqu’un, signe de respect et de propreté. Les sols sont parfois utilisés comme espace de repos, de repas ou de prière. Ce rapport au sol traduit une approche du confort et de l’intimité différente de celle des pays occidentaux.
Le rôle de la cuisine
La cuisine peut être ouverte et conviviale (comme en Scandinavie), ou au contraire séparée et fonctionnelle. Dans certaines cultures, elle est un espace réservé aux femmes. Ailleurs, elle devient le cœur de la maison, lieu de transmission culinaire et de rassemblement familial.
La chambre : espace privé ou collectif ?
Le concept de chambre individuelle est récent et occidental. Dans beaucoup de régions du monde, on partage sa chambre, voire son lit, avec ses frères et sœurs. La notion d’intimité varie selon les cultures, tout comme l’aménagement et l’usage de la pièce.
Comment on vit chez soi en dit long sur notre rapport à l’autre, à l’espace, à l’intimité. Explorer ces différences, c’est élargir son regard. Chez Globespeaker, l’apprentissage des langues est aussi une porte ouverte sur les modes de vie du monde entier.
Ce qui fait rire dans un pays peut laisser de marbre ailleurs, voire créer des malentendus. L’humour est l’un des reflets les plus sensibles d’une culture : il dépend du langage, de l’histoire, des tabous et des codes sociaux. Comprendre l’humour d’une langue, c’est accéder à une forme de complicité culturelle.
Les types d’humour varient d’une culture à l’autre
L’humour britannique joue sur l’absurde et l’autodérision. En France, on aime le jeu de mots et la satire. Au Japon, le duo comique "manzai" repose sur les rôles opposés du "boke" (naïf) et du "tsukkomi" (celui qui corrige). En Russie, l’humour noir reflète souvent les épreuves de l’histoire.
Ce qui peut choquer ou déranger
Faire une blague sur la politique, la religion ou la famille est toléré dans certains pays, tabou dans d’autres. Les malentendus viennent souvent de ces différences culturelles. Un sketch inoffensif dans une langue peut devenir offensant traduit littéralement.
Les codes de l’implicite et du non-dit
Certaines cultures valorisent l’humour indirect, le double sens, l’ironie feutrée. D’autres préfèrent l’efficacité visuelle ou la caricature. Comprendre les règles du jeu linguistique est essentiel pour saisir l’intention derrière une plaisanterie.
Pourquoi l’humour rapproche
Rire ensemble crée un lien. Savoir utiliser (ou au moins comprendre) l’humour d’une autre langue, c’est entrer dans l’intimité sociale. Cela demande de la finesse, de l’observation, et une bonne dose d’auto-dérision aussi !
L’humour est une clé culturelle puissante. Avec Globespeaker, vous apprenez une langue dans son contexte, avec ses codes et ses subtilités. De quoi rire, parfois, mais surtout mieux comprendre l’autre.
Dire bonjour, tendre la main, faire une révérence : saluer est le premier geste d’interaction humaine. Pourtant, ce qui est vu comme poli ou respectueux ici peut être maladroit ailleurs. Tour d’horizon des manières de saluer à travers les cultures.
La parole et le geste
En France, une poignée de main suffit dans les contextes formels ; les bises varient selon les régions et la familiarité. Au Japon, on s’incline avec précision. En Inde, on joint les mains devant la poitrine en disant « Namaste », un salut empreint de spiritualité.
Distance et contact physique
Dans les pays arabes ou d’Amérique latine, le contact physique est souvent chaleureux (accolades, embrassades). À l’inverse, dans les pays nordiques ou en Asie de l’Est, on valorise la distance. La proximité physique dépend de la culture, mais aussi du genre et du contexte.
Le regard, un langage culturel
Regarder quelqu’un dans les yeux est signe d’assurance en Occident, mais peut être vu comme un manque de respect dans certaines cultures asiatiques. Le regard fait partie intégrante du salut, et ses codes sont à manier avec finesse.
Les mots comptent aussi
Chaque langue a ses formules. En russe : « Zdravstvuyte » (santé à vous). En arabe : « Salam alaykoum » (paix sur vous). Ces expressions, souvent pleines de sens, ouvrent la porte à une relation fondée sur la reconnaissance mutuelle.
Saluer, c’est plus qu’une formule : c’est un acte culturel, un signal de respect, un début de dialogue. Chez Globespeaker, nous vous aidons à maîtriser ces subtilités culturelles, car parler une langue, c’est aussi savoir entrer en relation avec justesse.
Langues
Maîtriser une langue étrangère ne sert pas seulement à voyager ou à traduire des mots. C’est aussi un formidable levier pour développer des compétences comportementales très recherchées en entreprise : les soft skills. Communication, adaptabilité, confiance en soi... Apprendre une langue, c’est travailler bien plus que son vocabulaire.
Améliorer sa communication
Une langue, c’est un outil de relation. En apprenant à s’exprimer avec clarté, à comprendre l’autre et à écouter activement, on développe une meilleure communication — en langue cible comme dans sa langue maternelle.
Développer l’empathie interculturelle
Apprendre une langue, c’est aussi comprendre une culture, des codes sociaux et des manières de penser différentes. Cela stimule l’ouverture d’esprit, l’empathie et la capacité à travailler dans des équipes internationales.
Renforcer sa confiance en soi
Se lancer dans une conversation en langue étrangère, réussir à se faire comprendre, répondre à l’imprévu… Ce sont autant de petites victoires qui renforcent l’aisance et l’estime de soi.
Stimuler la mémoire et la concentration
Apprendre du vocabulaire, des structures, des sons différents : cela sollicite le cerveau de façon intense. Des études montrent que les personnes bilingues développent de meilleures capacités cognitives.
Montrer sa motivation et sa capacité d’apprentissage
Dans un CV ou en entretien, parler une langue étrangère est un signal fort. Cela prouve votre autonomie, votre curiosité, votre capacité à apprendre de façon continue : des qualités recherchées dans tous les métiers.
Apprendre une langue, c’est bien plus que parler anglais, espagnol ou chinois. C’est se transformer, s’ouvrir, se challenger. Avec Globespeaker, vous développez des compétences linguistiques, mais aussi humaines et professionnelles, qui vous suivront toute votre vie.
Le langage des signes est un outil de communication utilisé par la communauté sourde et malentendante, entre ses membres ou bien avec des personnes entendantes. Il en existe plus de 100 dans le monde. En France, on dénombre plus de 300 000 utilisateurs et 400 interprètes. Pour savoir comment est née la langue des signes française (LSF) et connaître ses principales caractéristiques, lisez la suite sans plus attendre !
Histoire de la langue des signes
La langue des signes française
Aristote considérait les personnes sourdes comme non éducables. Dès lors, elles ont souvent été traitées comme des êtres inférieurs et simples d’esprit. Et pourtant, l’Histoire révèle de nombreux exemples de personnalités sourdes ayant accompli des prodiges : Beethoven, Goya, Bergson, Helen Keller, etc.
En France, il faudra attendre le XVIIIe siècle pour assister à un réel changement de point de vue. En 1760, l’abbé Charles Michel de l’Épée institutionnalise le langage des malentendants avec le premier alphabet et la première école : l’Institut National des Jeunes Sourds, à Paris.
En 1880, le Congrès des langues de Milan interdit l’utilisation de la langue signée, en faveur d’un enseignement oral, basé sur la lecture labiale. Durant plus d’un siècle, la LSF se transmet, dans le plus grand secret, par des jeunes atteints de ce handicap.
En 1991, la Loi Fabius lui reconnaît la possibilité d’être enseignée dans les établissements au même titre que les autres langues orales. Enfin, la Loi du 11 février 2005 permet à la LSF d’accéder au statut de langue à part entière.
La langue des signes dans le monde
On peut penser que la langue des signes américaine (ASL) est similaire à l’anglaise. Et pourtant, il s’agit là d’une idée reçue complètement erronée. En effet, l’ASL est plus proche de la LSF parce que c’est un Français qui a cofondé la première école destinée à des enfants sourds !
La première école britannique pour sourds est créée par Thomas Braidwood. À la même époque, il n’existe aucune éducation spécifique aux États-Unis. Le pasteur Thomas Hopkins Gallaudet part donc en Europe pour en apprendre davantage sur la question.
Braidwood refusera de lui apprendre la langue des signes britannique, mais il rencontrera en France, Laurent Clerc, un professeur de LSF, et ensemble, ils créeront la première école américaine en 1817.
Aujourd’hui, il existe une langue des signes internationale, qui a été imaginée dans les années 1970. Elle n’est pas du tout utilisée dans la vie quotidienne, mais uniquement à l’occasion d’événements mondiaux ou de conférences internationales.
⏩ Découvrez le braille, un outil de communication pour les malvoyants.
Apprendre le langage des signes
Principales caractéristiques
C’est une langue naturelle qui évolue avec la culture, la société et les diversités géographiques de son pays. Par exemple, dans le sud, on s’exprime avec des gestes plus amples et passionnés, tout comme à l’oral.
Les sourds et malentendants se comprennent mieux à l’international que les entendants. Cela peut s’expliquer essentiellement par deux raisons :
Il est plus facile de voir et copier un geste qu’entendre et répéter un son, d’autant que la structure reste identique, et ce, quel que soit le pays.
Ils communiquent régulièrement avec des personnes qui ne maîtrisent pas la langue des signes et ont donc l’habitude de s’adapter à leur interlocuteur.
⏩ Florent Pagny est l’artiste le plus connu en France à avoir utilisé la langue des signes dans une création artistique grâce au magnifique chansigne de sa chanson Savoir Aimer.
Quelques règles d’apprentissage
La LSF n’est pas une simple traduction du français oral. Elle a sa propre grammaire, son alphabet, sa syntaxe et ses règles de langage. Ainsi, la structure standard d’une phrase est : temps + lieu + sujet + action, et non pas sujet + verbe + complément.
On retient aussi l’importance de l’expression corporelle dans la compréhension de la LSF :
Le placement, le positionnement et le mouvement des doigts et des mains.
L’emplacement pour délimiter la temporalité puisqu’il n’existe aucune conjugaison. On va utiliser son propre corps pour représenter un repère de temps : le passé est derrière, le présent à son niveau et le futur est devant.
Les expressions du visage pour affirmer des notions : interrogation, émotions, etc. Parfois, cela fera toute la différence entre deux mots signés exactement de la même manière.
Nombreuses sont les personnalités contemporaines sourdes ou malentendantes qui ont fait de leur handicap une force digne d’admiration et ont contribué à développer la langue des signes : David Lodge, Virginie Delalande, Bill Clinton, Emmanuelle Laborit, etc.
Les 4 types de signes
La LSF utilise 4 types de signes différents, lui permettant d’exprimer une pensée construite, aussi bien qu’une langue vivante :
Les signes iconiques qui miment une action ou un nom reconnaissable par la gestuelle. Par exemple, pour manger, on portera les doigts près de la bouche en France.
L’alphabet dactylologique, autrement dit chaque lettre est signée. Lorsqu’un mot ne peut être signé ou bien si l’interlocuteur ne le comprend pas, il est alors possible de l’épeler. C’est très souvent le cas avec les noms propres, villes ou prénoms.
Les signes inspirés de la langue française qui nécessitent l’utilisation simultanée des deux mains. La première, pour signer la lettre initiale du mot et la deuxième, pour effectuer un mouvement bien spécifique. Par exemple, « vrai » et « vacances » vont avoir le même signe pour la lettre V, mais un mouvement de bras différent.
Les signes inventés pour illustrer un nouveau concept ou un nouveau lieu, en se basant sur une spécificité qui lui est propre. Ainsi, Facebook se signe en portant les mains de chaque côté du visage pour illustrer l’image de la photo de profil.
Qui peut apprendre le langage des signes ? Les personnes atteintes de surdité, celles qui ont un proche sourd ou malentendant, et celles qui interagissent avec du public la pratiquant au quotidien. Et tout simplement, si vous êtes curieux de connaître un autre mode de communication, au même titre que toute langue étrangère. Avec un résultat positif : parler la langue des signes c’est la promouvoir et contribuer davantage à son expansion.
⏩ Pour plus de langues, visitez notre plateforme d’apprentissage ludique et innovante !
Sources :https://www.fnsf.org/https://www.culturesourde.fr/langue-des-signes/langue-signes-est-elle-universelle/https://blog.assimil.com/la-langue-des-signes-quels-sont-les-grands-principes/
Le braille est connu dans le monde entier. En revanche, tout le monde ne s’intéresse pas à cette langue écrite.En effet, la plupart des personnes ne connaissent pas l’origine de cette langue, ne peuvent en expliquer le fonctionnement, ni ses évolutions au cours du temps.Dans cet article, nous allons nous intéresser de près à toutes ces informations afin de mieux connaître cette langue originale.
L’origine du braille
Le braille est une amélioration de la méthode de lecture appelée « sonographie », mise au point par Charles Barbier.
Louis Braille, qui est devenu aveugle par accident, et qui suivait cette méthode, en a identifié les limites lors de son instruction. Il a alors inventé un code alphabétique, organisé en deux rangées de trois points, qui offre soixante-quatre combinaisons. Ainsi, il intègre les majuscules, les accents, la ponctuation, ainsi que les caractères.
Mais qui est Louis Braille ?
Louis Braille est né en 1809 dans la région Parisienne.
Malheureusement, à cause d’un accident, il perd la vue dans son enfance et devient donc aveugle. Il est brillant à l’école et devient même par la suite enseignant. Sa passion et ses capacités l’ont amené à réfléchir sur les moyens mis en place concernant l’aide apportée aux malvoyants, et il mit en place un nouveau système sur la base d’une lecture effectuée par le toucher.
En quoi consiste le braille ?
Il s’agit de petits points saillants qui correspondent à des lettres, des chiffres et des signes. Lorsque la personne malvoyante passe son doigt sur ces points, elle peut alors interpréter ce qui y est écrit. Il s’agit ainsi d’une écriture codée, que tous les malvoyants peuvent interpréter. En plus de pouvoir la lire, les personnes malvoyantes peuvent également écrire en utilisant ces codes.
La langue Braille a ainsi commencé, et déjà à l’époque, elle était considérée comme une solution efficace pour que les personnes malvoyantes puissent communiquer.
Les améliorations apportées au brailleLe braille a permis aux personnes malvoyantes de communiquer plus facilement. Cette méthode, s’avérant efficace, elle a donc été adaptée dans d’autres domaines.
Avec le temps, bien sûr, des améliorations ont été effectuées, bien que le système de base soit resté le même.
Intéressons-nous maintenant de plus près aux différentes améliorations qu’a reçu le braille.
Les mathématiques :
L’apprentissage ne se limite pas seulement à la lecture, en effet, il existe en plus de l’alphabet, un code spécifique suivant le même système de points saillants qui offre la possibilité aux malvoyants d’effectuer certains calculs.
Certaines personnalités ont d’ailleurs réussi à marquer l’histoire de cette discipline, dont Louis Antoine, topologue et géomètre français. On lui doit les signes, permettant de traduire un langage mathématique, encore utilisés aujourd’hui.
Louis Antoine a également montré que l’on pouvait enseigner tout en étant malvoyant, et s’est battu pour que les personnes aveugles ne soient pas exclues du métier de professeur.
La musique :
Devenir musicien demande de savoir lire une partition.C’est pour cela que dans ce domaine aussi le code pour personne malvoyante a été utilisé. Chaque note correspond à un code, elles peuvent donc lire une partition, et même en écrire une. Cette amélioration a permis à de nombreuses personnes malvoyantes de s’ouvrir à la passion pour la musique, et même pour certains, d’en vivre.Louis Braille, qui était un organiste talentueux, était déterminé à apprendre à ses élèves à pouvoir lire et jouer de la musique.
La technologie
De nos jours, qui ne possède pas un ordinateur, un smartphone, une tablette, etc. ?
Mais alors, est-ce que les personnes malvoyantes peuvent elles aussi profiter de cette technologie ? La réponse est oui. Mais alors comment ?
De nombreuses améliorations ont pu être apportées, par exemple, il existe des logiciels qui permettent de traduire une page en braille. Afin de la lire, la personne malvoyante doit brancher à l’ordinateur un appareil spécial afin de lire en braille. De ce fait, elle n’a plus qu’à passer son doigt sur la machine pour lire cette page. La personne malvoyante a aussi la possibilité d’écouter la lecture d’une page à l’aide d’un système de synthèse vocale.
Sachez qu’il existe également des imprimantes en braille qui permet d’imprimer une page sur internet automatiquement en braille. Le braille est donc bien plus qu’un outil de langage pour malvoyants, c’est un réel outil pour leur quotidien.
Formation professionnelle
Les serious games révolutionnent l’apprentissage des langues en combinant plaisir de jouer et efficacité pédagogique. Chez Globespeaker, cette approche est au cœur de notre méthode. Mais comment fonctionne un serious game ? Sur quels principes s’appuie-t-il ? Et pourquoi est-il si efficace pour apprendre durablement ? Plongée dans les coulisses.
Le serious game, c’est quoi exactement ?
Un serious game est un jeu conçu avec un objectif formateur. Il ne s’agit pas seulement de divertir, mais d’atteindre une compétence : linguistique, cognitive, sociale... Globespeaker utilise cette approche pour créer un parcours immersif où chaque mission permet de renforcer des compétences-clés en langue.
Une méthodologie fondée sur les sciences cognitives
Notre méthode s’appuie sur des leviers puissants validés par les neurosciences :
Répétition espacée pour ancrer les connaissances dans la mémoire long terme.
Feedback immédiat pour corriger et progresser sans attendre.
Stimulation de la dopamine grâce au scoring, badges, et niveaux franchis, qui entretient la motivation.
La technologie au service de l’apprenant
L’interface de Globespeaker est conçue pour offrir une expérience fluide, intuitive et engageante. Le séquencement des activités, le design immersif et la personnalisation des parcours permettent à chacun d’apprendre à son rythme, dans un environnement stimulant.
Un apprentissage actif et motivant
Contrairement à l’apprentissage passif (regarder une vidéo ou lire une leçon), le serious game sollicite l’attention, la réflexion et l’interaction. Il pousse l’apprenant à être acteur de son parcours, ce qui améliore l’engagement et la rétention des compétences.
Des résultats mesurables et gratifiants
L’un des grands atouts du serious game est la possibilité de suivre ses progrès en temps réel. Les scores et statistiques permettent d’ajuster son parcours, de cibler ses faiblesses, et de voir concrètement les compétences acquises.
Le serious game n’est pas une mode, mais une révolution pédagogique. En alliant plaisir du jeu, rigueur scientifique et technologie intelligente, Globespeaker offre une expérience d’apprentissage vivante, durable et motivante. Une façon moderne et efficace d’apprendre une langue, à tout âge et à tout niveau.
Vous souhaitez booster votre carrière en validant votre niveau d’anglais avec le TOEIC ? Globespeaker vous propose une méthode unique pour préparer cette certification sérieusement, tout en vous amusant. Basé sur le serious game, notre programme transforme votre apprentissage en expérience ludique et efficace.
Comprendre le TOEIC et ses enjeux
Le TOEIC (Test of English for International Communication) évalue les compétences en anglais professionnel. Il est reconnu dans plus de 160 pays et prisé par les entreprises. Obtenir un bon score est un atout pour votre CV, vos mobilités professionnelles ou l'accès à certaines formations.
Une méthode adaptée aux exigences de l'examen
Globespeaker intègre des modules ciblés pour renforcer les compétences clés du TOEIC : compréhension orale, lecture, vocabulaire professionnel. Chaque entrainement est conçu pour développer vos réflexes linguistiques et vous rapprocher des conditions réelles du test.
Le serious game : un levier d'apprentissage puissant
En utilisant la mécanique du jeu, vous restez engagé, concentré et motivé. Chaque mission réussie vous rapproche de vos objectifs tout en consolidant vos acquis. Le jeu favorise la mémorisation active et l’ancrage durable des connaissances.
Progression personnalisée et feedback en temps réel
Vous avancez à votre rythme, avec des parcours adaptés à votre niveau initial et vos disponibilités. Les scores, badges et bilans vous permettent de visualiser vos progrès et de cibler les compétences à renforcer.
Financement par le CPF : un accès facilité à la certification
Globespeaker est éligible au CPF, ce qui permet de suivre la préparation au TOEIC sans frais personnels. C’est l’opportunité d’investir dans votre avenir professionnel avec un accompagnement ludique et structurant.
Avec Globespeaker, préparer le TOEIC devient une aventure motivante. Notre approche pédagogique par le jeu, personnalisée et orientée résultats, vous donne les clés pour réussir votre certification et valoriser votre anglais au service de vos ambitions.
L'apprentissage en ligne offre une flexibilité inégalée, mais il présente aussi un défi majeur : rester motivé sur la durée. Sans la présence physique d'un professeur ou la dynamique d'un groupe, il est facile de perdre le rythme. Pourtant, avec quelques stratégies simples, il est possible de garder le cap et de progresser efficacement.
Se fixer des objectifs clairs et atteignables
Dès le départ, définissez ce que vous souhaitez accomplir avec votre formation. Souhaitez-vous améliorer votre niveau d'anglais professionnel ? Passer un examen comme le TOEIC ? Ces objectifs doivent être spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporels (objectifs SMART).
Structurer son temps et son environnement
Planifiez des sessions d’apprentissage régulières. Même 15 minutes par jour peuvent avoir un impact significatif si elles sont bien organisées. Créez un espace calme, sans distractions, propice à la concentration.
Utiliser des outils ludiques et interactifs
La méthode Globespeaker repose sur le serious game : une façon engageante d’apprendre en s’amusant. Le jeu stimule la mémoire, la répétition active et permet de mesurer ses progrès en temps réel, ce qui entretient la motivation.
Se récompenser et suivre ses progrès
Gardez une trace de vos évolutions (badges, niveaux, scores) et accordez-vous des récompenses lorsque vous atteignez un palier. Cette gratification, même symbolique, renforce l’engagement.
Rejoindre une communauté d'apprenants
Même en ligne, vous n'êtes pas seul. Participez aux forums, groupes de discussion ou challenges entre utilisateurs. L’échange et l’entraide permettent de briser l’isolement et de se soutenir mutuellement.
Relier l’apprentissage à ses intérêts personnels
Apprenez avec des contenus qui vous passionnent : musique, voyages, cuisine, actualités... La personnalisation du parcours rend l’expérience plus plaisante et engageante.
Rester motivé en e-learning n’est pas une question de volonté pure, mais d’organisation, de plaisir et de progression visible. En choisissant une méthode comme Globespeaker, qui intègre le jeu, la personnalisation et la communauté, vous mettez toutes les chances de votre côté pour atteindre vos objectifs linguistiques durablement.